Point.P a accueilli vendredi, au siège de sa maison mère Saint-Gobain, le tirage au sort des 16ème de finale de la Coupe de la Ligue de football, dont il est partenaire. Loccasion de faire le point sur les nouveaux défis du distributeur de matériaux de construction avec Franck Bruel, président du directoire. Interview.
Batiactu : Cest la neuvième année consécutive que vous êtes partenaire de la Coupe de la Ligue de football, quest ce que cette collaboration vous apporte ?
Franck Bruel : Cette opération nous permet dasseoir notre notoriété. Nous sommes associés au foot et à la télévision, ce qui a donné à notre enseigne une visibilité quelle navait pas avant. Mais cette notoriété est bien ciblée puisque nous avons des convergences de valeurs avec le foot comme lesprit déquipe, la solidarité. Dautre part, nous avons lambition pour cette année de mettre en place des projets qui dépassent le cadre de la publicité. Nous souhaitons développer une action autour de la reconversion professionnelle des footballeurs. Mais ce nest pas tout puisque nous allons innover en installant des stands autour des stades afin dessayer dattirer les jeunes dans notre secteur dactivité.
Batiactu : Quelles sont les autres grands projets et objectifs du groupe en cette rentrée 2007 ?
F.B : Actuellement, nous enregistrons une réelle dynamique du groupe. Les nouveaux projets arrivent avec comme objectifs de remettre les professionnels au centre de nos préoccupations, de se concentrer sur notre cur de gamme et de défendre nos parts de marché. Nos campagnes de communication seront plus centrées sur les métiers du bâtiment et moins sur la promotion. Nous sommes également très impliqués dans le développement durable.
Batiactu : Justement, quelles sont les différentes actions que vous menez en matière de développement durable ?
F.B : Cest une démarche globale que lon retrouve notamment à travers notre politique dapprovisionnement, limplantation et la conception de nos agences ou encore la gestion des déchets et le recyclage de matériaux. De plus, nous avons été consultés et nous avons été partie prenante dun groupe de travail en vue du «Grenelle de lenvironnement». Nous avons pu expliquer la difficulté quil y a à amener ce sujet dans un métier aussi dispersé que le bâtiment même si lartisan est de bonne volonté.
Batiactu : Comment caractérisez-vous la demande des artisans ? Peut-on observer une évolution dans cette demande ces dernières années ?
F.B : On note un effort considérable. Les produits sont plus faciles à mettre en uvre et on observe une qualité et une rapidité de service. Il faut noter quaujourdhui les artisans sont plus exigeants et plus stricts au niveau des délais.
Batiactu : Point.P a créé deux écoles de formations, une basée à Arles et lautre à Reze (44), avez-vous lintention den ouvrir dautres ?
F.B : Nous allons lancer une école à Aubervilliers dans le centre de formation de luniversité de Saint-Gobain. Toutes ces écoles visent à améliorer les compétences de nos collaborateurs tant au niveau technique, managérial ou encore commercial. Elles favorisent aussi les perspectives de carrière.
Franck Bruel : Cette opération nous permet dasseoir notre notoriété. Nous sommes associés au foot et à la télévision, ce qui a donné à notre enseigne une visibilité quelle navait pas avant. Mais cette notoriété est bien ciblée puisque nous avons des convergences de valeurs avec le foot comme lesprit déquipe, la solidarité. Dautre part, nous avons lambition pour cette année de mettre en place des projets qui dépassent le cadre de la publicité. Nous souhaitons développer une action autour de la reconversion professionnelle des footballeurs. Mais ce nest pas tout puisque nous allons innover en installant des stands autour des stades afin dessayer dattirer les jeunes dans notre secteur dactivité.
Batiactu : Quelles sont les autres grands projets et objectifs du groupe en cette rentrée 2007 ?
F.B : Actuellement, nous enregistrons une réelle dynamique du groupe. Les nouveaux projets arrivent avec comme objectifs de remettre les professionnels au centre de nos préoccupations, de se concentrer sur notre cur de gamme et de défendre nos parts de marché. Nos campagnes de communication seront plus centrées sur les métiers du bâtiment et moins sur la promotion. Nous sommes également très impliqués dans le développement durable.
Batiactu : Justement, quelles sont les différentes actions que vous menez en matière de développement durable ?
F.B : Cest une démarche globale que lon retrouve notamment à travers notre politique dapprovisionnement, limplantation et la conception de nos agences ou encore la gestion des déchets et le recyclage de matériaux. De plus, nous avons été consultés et nous avons été partie prenante dun groupe de travail en vue du «Grenelle de lenvironnement». Nous avons pu expliquer la difficulté quil y a à amener ce sujet dans un métier aussi dispersé que le bâtiment même si lartisan est de bonne volonté.
Batiactu : Comment caractérisez-vous la demande des artisans ? Peut-on observer une évolution dans cette demande ces dernières années ?
F.B : On note un effort considérable. Les produits sont plus faciles à mettre en uvre et on observe une qualité et une rapidité de service. Il faut noter quaujourdhui les artisans sont plus exigeants et plus stricts au niveau des délais.
Batiactu : Point.P a créé deux écoles de formations, une basée à Arles et lautre à Reze (44), avez-vous lintention den ouvrir dautres ?
F.B : Nous allons lancer une école à Aubervilliers dans le centre de formation de luniversité de Saint-Gobain. Toutes ces écoles visent à améliorer les compétences de nos collaborateurs tant au niveau technique, managérial ou encore commercial. Elles favorisent aussi les perspectives de carrière.
Le groupe Point.P en chiffres
1.600 points de vente
194.500 clients professionnels
7 milliards d'euros de chiffre daffaires
26.000 collaborateurs
1.600 points de vente
194.500 clients professionnels
7 milliards d'euros de chiffre daffaires
26.000 collaborateurs