Si Antoine Zacharias se décidait à vendre les 798.841 actions levées sur son programme de stock-options, il dégagerait potentiellement une plus-value de plus de 51 millions d'euros. Du jamais vu en France.
Le PDG de Vinci a exercé ses options d'achat d'actions au prix moyen de 46,97 euros l'unité, soit une dépense de 37,52 millions d'euros, selon des chiffres publiés dans le rapport annuel du groupe de constructions.
«Je confirme que M. Zacharias a levé 800.000 titres l'année dernière mais la plus-value n'est pas faite», a déclaré à l'AFP un porte-parole de Vinci, relevant que M. Zacharias avait toujours dans son portefeuille boursier 843.836 actions.
Si l'on estime la plus-value potentielle (correspondant à un enrichissement de son patrimoine) au cours actuel de l'action Vinci (autour de 111 euros), cela lui permettrait de dégager un bénéfice de 51 millions d'euros...s'il se décidait à les vendre aujourd'hui !
Par ailleurs, Antoine Zacharias a reçu au titre de l'exercice 2004 une rémunération avant impôts de 3,4 millions d'euros en augmentation de 11,5% par rapport à 2003, toujours selon des données du rapport annuel.
«Je confirme que M. Zacharias a levé 800.000 titres l'année dernière mais la plus-value n'est pas faite», a déclaré à l'AFP un porte-parole de Vinci, relevant que M. Zacharias avait toujours dans son portefeuille boursier 843.836 actions.
Si l'on estime la plus-value potentielle (correspondant à un enrichissement de son patrimoine) au cours actuel de l'action Vinci (autour de 111 euros), cela lui permettrait de dégager un bénéfice de 51 millions d'euros...s'il se décidait à les vendre aujourd'hui !
Par ailleurs, Antoine Zacharias a reçu au titre de l'exercice 2004 une rémunération avant impôts de 3,4 millions d'euros en augmentation de 11,5% par rapport à 2003, toujours selon des données du rapport annuel.