Grâce à un vaste programme de rénovation urbaine de plus de 223 millions d'euros sur 4 ans, les élus de la ville d'Angers présentent le projet comme la plus importante opération de reconstruction engagée depuis la Libération.
Un peu plus d'un mois après la signature par Jean-Louis Borloo, le ministre de la Cohésion sociale, de la convention qui lie Angers à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), la ville a présenté lundi après-midi le détail du plan aux bailleurs sociaux et entreprises du bâtiment appelées à s'y associer.
Le plan de rénovation porte notamment sur la destruction et la reconstruction de 892 logements pour un montant de près de 100 millions d'euros. Cinq quartiers représentant plus de 60.000 habitants, soit 40% de la population d'Angers, sont concernés.
"Il s'agit comme le prévoit le plan Borloo d'éviter les ghettos, de créer de la mixité sociale et de remettre de l'activité dans ces quartiers", a expliqué Daniel Raoul, 2ème adjoint au maire d'Angers.
Sur les 223 millions d'euros, l'ANRU doit apporter un financement de 53 millions d'euros, le conseil général du Maine-et-Loire et le Conseil régional des Pays-de-la-Loire, environ 22 millions, la ville, 34 millions, et les bailleurs sociaux, 21 millions. La somme restante, soit environ 94 millions d'euros, sera financée par l'emprunt.
Le plan de rénovation porte notamment sur la destruction et la reconstruction de 892 logements pour un montant de près de 100 millions d'euros. Cinq quartiers représentant plus de 60.000 habitants, soit 40% de la population d'Angers, sont concernés.
"Il s'agit comme le prévoit le plan Borloo d'éviter les ghettos, de créer de la mixité sociale et de remettre de l'activité dans ces quartiers", a expliqué Daniel Raoul, 2ème adjoint au maire d'Angers.
Sur les 223 millions d'euros, l'ANRU doit apporter un financement de 53 millions d'euros, le conseil général du Maine-et-Loire et le Conseil régional des Pays-de-la-Loire, environ 22 millions, la ville, 34 millions, et les bailleurs sociaux, 21 millions. La somme restante, soit environ 94 millions d'euros, sera financée par l'emprunt.