Entre le 1er février 2005 et le 1er février 2006, quelque 202 permis de construire ont été accordés pour des centrales éoliennes de production d'électricité représentant une puissance totale de 1.230 mégawatts, selon les chiffres publiés lundi par le ministère de l'Industrie.
Selon le ministère de l'Industrie, ces 202 projets autorisés s'ajouteront aux 1.500 mégawatts (MW) accordés entre le 1er février 2004 et le 1er février 2005, «plaçant ainsi la France parmi les leaders européens de l'éolien en terme de marché annuel», selon le communiqué.
Le parc national était de 757 MW installés à la fin de l'année 2005, contre 366 MW à la fin de 2004. «Le déploiement de l'éolien se poursuit à l'est et au centre de la France. Douze nouveaux départements voient ainsi des projets éoliens pour la première fois», souligne le ministère.
Au total, 661 demandes de permis de construire étaient en cours d'instruction au 1er février 2006, pour 4.651 MW, contre 566 demandes pour 3.198 MW un an plus tôt. «D'une enquête à l'autre, la forte dynamique observée conforte les scénarios de croissance de l'éolien les plus ambitieux envisagés par le gouvernement. La diversification des sources d'énergie est un axe essentiel de la politique énergétique française», a commenté le ministre délégué à l'Industrie, François Loos, cité dans le communiqué.
Le taux de refus des permis instruits reste stable, de l'ordre de 30%. Ces refus sont motivés principalement par des considérations environnementales.
Le parc national était de 757 MW installés à la fin de l'année 2005, contre 366 MW à la fin de 2004. «Le déploiement de l'éolien se poursuit à l'est et au centre de la France. Douze nouveaux départements voient ainsi des projets éoliens pour la première fois», souligne le ministère.
Au total, 661 demandes de permis de construire étaient en cours d'instruction au 1er février 2006, pour 4.651 MW, contre 566 demandes pour 3.198 MW un an plus tôt. «D'une enquête à l'autre, la forte dynamique observée conforte les scénarios de croissance de l'éolien les plus ambitieux envisagés par le gouvernement. La diversification des sources d'énergie est un axe essentiel de la politique énergétique française», a commenté le ministre délégué à l'Industrie, François Loos, cité dans le communiqué.
Le taux de refus des permis instruits reste stable, de l'ordre de 30%. Ces refus sont motivés principalement par des considérations environnementales.