ANALYSE JURIDIQUE. Annoncée pour fin 2024, l'approbation définitive du plan local d'urbanisme bioclimatique (PLU-B) de la capitale marquera une rupture dans la façon de concevoir la ville et son bâti dans les dix à quinze années à venir. Moratoire sur les bureaux, prime aux logements, mixité sociale renforcée, surperformance des projets… Tour d'horizon des nouveaux équilibres à l'œuvre, avec l'éclairage d'Emmanuel Vital-Durand, avocat associé chez Gide Loyrette Nouel.


Le futur plan local d'urbanisme de la capitale, présenté comme "bioclimatique" car visant à adapter le territoire et le bâti parisiens aux défis du dérèglement climatique, se démarque de ses prédécesseurs sur plusieurs points essentiels. "La volonté affichée de réduire drastiquement la place des bureaux témoigne, par exemple, d'un vrai changement de paradigme", commente Emmanuel Vital-Durand, avocat associé chez Gide Loyrette Nouel. Parallèlement, les obligations de création de logements, notamment sociaux, sont renforcées.
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