Loffice du tourisme polonais à Paris révèle sur son site internet la véritable crainte des Français envers le fameux plombier polonais. Ce dernier serait en fait un dangereux séducteur
Dans une nouvelle campagne pour attirer les touristes français en Pologne, l'office de tourisme polonais à Paris fait un pied de nez aux craintes françaises en utilisant l'image, sexy, d'un plombier polonais, devenu en France le symbole des travailleurs immigrés à bon marché.
«Je reste en Pologne. Venez nombreux», lance un jeune homme posant avec ses outils de plombier en main sur le site internet de l'office. Pendant la campagne référendaire française sur la Constitution européenne, remportée le 29 mai par le non, le «plombier polonais» était devenu le symbole de ces travailleurs issus des nouveaux pays de l'Union européenne venant offrir en France leurs services à bas prix. «Les Polonais sont fatigués d'être montrés du doigt», a déclaré à l'AFP Elzbieta Janek de l'office de tourisme polonais à Paris. «Nous avons décidé que l'humour était la meilleure des réponses. Notre travail est d'encourager les gens à venir visiter la Pologne et c'était une bonne façon de détendre l'atmosphère et de montrer aux Français qu'ils sont toujours les bienvenus», a-t-elle ajouté.
«Je reste en Pologne. Venez nombreux», lance un jeune homme posant avec ses outils de plombier en main sur le site internet de l'office. Pendant la campagne référendaire française sur la Constitution européenne, remportée le 29 mai par le non, le «plombier polonais» était devenu le symbole de ces travailleurs issus des nouveaux pays de l'Union européenne venant offrir en France leurs services à bas prix. «Les Polonais sont fatigués d'être montrés du doigt», a déclaré à l'AFP Elzbieta Janek de l'office de tourisme polonais à Paris. «Nous avons décidé que l'humour était la meilleure des réponses. Notre travail est d'encourager les gens à venir visiter la Pologne et c'était une bonne façon de détendre l'atmosphère et de montrer aux Français qu'ils sont toujours les bienvenus», a-t-elle ajouté.