Le groupe de BTP allemand en difficultés Philipp Holzmann, sauvé de justesse de la faillite fin 1999, a enregistré une perte nette de 56,5 millions d'euros au premier semestre 2001.
Le groupe a justifié ce résultat par la conjoncture toujours très morose dans le secteur du bâtiment en Allemagne et par des coûts de restructuration élevés. Les entrées de commandes ont chuté de 11,5% à 3,02 milliards d’euros au cours des six premiers mois de l'année. En revanche, ses activités de construction ont augmenté de 0,7% à 3,1 milliards d’euros pendant la même période.
L'entreprise table sur de meilleurs performances au deuxième semestre, précise le communiqué. Ainsi, "les résultats sur l'ensemble de l'année seront meilleurs que l'an dernier", où le groupe avait enregistré une perte nette de 79,8 miilions d'euros.
Mais quant à sortir du rouge cette année, Philipp Holzmann n'y parviendra vraisemblablement pas, contrairement à ses projets antérieurs, ajoute le communiqué. Le patron du groupe, Konrad Hinrichs, avait annoncé dans une interview il y deux semaines 500 à 700 suppressions d'emplois en Allemagne et prévenu que le groupe serait à nouveau dans le rouge cette année. Ces suppressions d'emplois seront effectives au deuxième semestre, précise le communiqué. 600 postes ont déjà été supprimés en Allemagne depuis le début de l'année.
L'entreprise table sur de meilleurs performances au deuxième semestre, précise le communiqué. Ainsi, "les résultats sur l'ensemble de l'année seront meilleurs que l'an dernier", où le groupe avait enregistré une perte nette de 79,8 miilions d'euros.
Mais quant à sortir du rouge cette année, Philipp Holzmann n'y parviendra vraisemblablement pas, contrairement à ses projets antérieurs, ajoute le communiqué. Le patron du groupe, Konrad Hinrichs, avait annoncé dans une interview il y deux semaines 500 à 700 suppressions d'emplois en Allemagne et prévenu que le groupe serait à nouveau dans le rouge cette année. Ces suppressions d'emplois seront effectives au deuxième semestre, précise le communiqué. 600 postes ont déjà été supprimés en Allemagne depuis le début de l'année.
