Au troisième trimestre, le groupe de BTP allemand a creusé sa perte nette et devrait supprimer plus d'emplois que prévu
La perte nette du groupe a atteint sur les neuf premiers mois de l'année 124,4 millions d'euros, contre 56,5 millions d'euros au premier semestre 2001, ce qui revient à une perte pour le seul troisième trimestre de 67,9 millions d'euros, indique le groupe.
"Cette détérioration s'explique par la vente différée de biens immobiliers et autre actifs, qui ne sera prise en compte (dans les résultats) qu'au quatrième trimestre", explique le groupe. Holzmann cherche depuis déjà plusieurs mois à céder des biens immobiliers pour réduire ses pertes, mais éprouve de grande difficultés à trouver preneur au prix qu'il demande.
Plus rassurant, sur neuf mois, les entrées de commandes ont augmenté de 6,9% à 5,54 milliards d'euros en glissement annuel, "malgré l'affaiblissement du marché".
Par ailleurs, le groupe allemand a revu en légère hausse le nombre de suppressions d'emplois qu'il prévoit d'effectuer cette année et l'année prochaine. Il prévoit désormais d'ici fin 2002 quelque 600 suppressions d'emplois en Allemagne ainsi que 260 en Autriche, indique-t-il, soit un total de 860. Un chiffre supérieur aux "500 à 700" suppressions de postes annoncées en août dernier par le groupe.
"Cette détérioration s'explique par la vente différée de biens immobiliers et autre actifs, qui ne sera prise en compte (dans les résultats) qu'au quatrième trimestre", explique le groupe. Holzmann cherche depuis déjà plusieurs mois à céder des biens immobiliers pour réduire ses pertes, mais éprouve de grande difficultés à trouver preneur au prix qu'il demande.
Plus rassurant, sur neuf mois, les entrées de commandes ont augmenté de 6,9% à 5,54 milliards d'euros en glissement annuel, "malgré l'affaiblissement du marché".
Par ailleurs, le groupe allemand a revu en légère hausse le nombre de suppressions d'emplois qu'il prévoit d'effectuer cette année et l'année prochaine. Il prévoit désormais d'ici fin 2002 quelque 600 suppressions d'emplois en Allemagne ainsi que 260 en Autriche, indique-t-il, soit un total de 860. Un chiffre supérieur aux "500 à 700" suppressions de postes annoncées en août dernier par le groupe.