Le numéro deux allemand du BTP a fermement démenti les rumeurs de rachat par le français Vinci.
Philipp Holzmann, sauvé de justesse de la faillite fin 1999, a démenti
Mercredi 16 mai des informations selon lesquelles il serait repris d'ici la
fin de l'année par le numéro un mondial du secteur, le français Vinci.
"Nous allons étudier dans les prochains mois toutes les options possibles pour l'avenir de Philipp Holzmann mais absolument rien n'a encore été décidé", a affirmé à l'AFP une porte-parole, Petra Rob.
Dans son édition à paraître jeudi, l'hebdomadaire Wirtschaftswoche
affirmait, sans citer ses sources, que Philipp Holzmann allait être vendu
d'ici la fin de l'année. Le magazine précisait que des "discussions intensives" avaient lieu entre le patron de Philipp Holzmann, Konrad Hinrichs, et le patron de Vinci, Antoine Zacharias.
"C'est totalement faux", a commenté le porte-parole du groupe allemand. "Nous n'avons encore entamé aucune discussion. Nous n'avons même pas encore décidé si Philipp Holzmann devait chercher des alliances ou continuer seul à travailler", a-t-elle ajouté.
Le groupe allemand était passé très près de la liquidation en novembre
1999, mais avait été "sauvé" grâce aux bons offices du chancelier Gerhard Schroeder auprès de ses banques créancières.
De son côté, Vinci dément également ces informations parues dans la presse allemande.
Mercredi 16 mai des informations selon lesquelles il serait repris d'ici la
fin de l'année par le numéro un mondial du secteur, le français Vinci.
"Nous allons étudier dans les prochains mois toutes les options possibles pour l'avenir de Philipp Holzmann mais absolument rien n'a encore été décidé", a affirmé à l'AFP une porte-parole, Petra Rob.
Dans son édition à paraître jeudi, l'hebdomadaire Wirtschaftswoche
affirmait, sans citer ses sources, que Philipp Holzmann allait être vendu
d'ici la fin de l'année. Le magazine précisait que des "discussions intensives" avaient lieu entre le patron de Philipp Holzmann, Konrad Hinrichs, et le patron de Vinci, Antoine Zacharias.
"C'est totalement faux", a commenté le porte-parole du groupe allemand. "Nous n'avons encore entamé aucune discussion. Nous n'avons même pas encore décidé si Philipp Holzmann devait chercher des alliances ou continuer seul à travailler", a-t-elle ajouté.
Le groupe allemand était passé très près de la liquidation en novembre
1999, mais avait été "sauvé" grâce aux bons offices du chancelier Gerhard Schroeder auprès de ses banques créancières.
De son côté, Vinci dément également ces informations parues dans la presse allemande.