Le gouvernement britannique vient d'annoncer que les plus petites propriétés n'auraient pas à payer cette année de taxe immobilière. Cette mesure doit permettre de relancer le marché immobilier.
Le gouvernement britannique va enlever la taxe immobilière sur les plus petites propriétés durant un an. Objectif : relancer un marché qui a vu les prix baisser en un an de 10%.
La taxe sur l'immobilier est actuellement de 1% pour les biens d'une valeur comprise entre 153.000 et 307.000 euros, de 3% pour les biens compris entre 307.000 et 614.000 euro et de 4% au-delà. Les achats de villas dont la valeur s'élève à moins de 218.000 euros seront donc exemptées de cette taxe dès le 2 septembre. Le premier ministre Gordon Brown a également laissé entendre qu'il pourrait mettre en place «l'aide au droit de timbre», mais aussi «une aide spéciale pour les primo-accédants, une aide à la construction de logements sociaux et une aide pour les gens qui connaissent des difficultés».
Le conseil des prêteurs immobiliers a toutefois regretté que la mesure n'aille pas plus loin, et il s'est demandé si «elle serait très incitative pour des acheteurs qui ne seraient pas entrés sur le marché de toute façon».
La Fédération nationale des Constructeurs immobiliers s'est également montrée sceptique affirmant que tout cela était «un sparadrap politique».
La taxe sur l'immobilier est actuellement de 1% pour les biens d'une valeur comprise entre 153.000 et 307.000 euros, de 3% pour les biens compris entre 307.000 et 614.000 euro et de 4% au-delà. Les achats de villas dont la valeur s'élève à moins de 218.000 euros seront donc exemptées de cette taxe dès le 2 septembre. Le premier ministre Gordon Brown a également laissé entendre qu'il pourrait mettre en place «l'aide au droit de timbre», mais aussi «une aide spéciale pour les primo-accédants, une aide à la construction de logements sociaux et une aide pour les gens qui connaissent des difficultés».
Le conseil des prêteurs immobiliers a toutefois regretté que la mesure n'aille pas plus loin, et il s'est demandé si «elle serait très incitative pour des acheteurs qui ne seraient pas entrés sur le marché de toute façon».
La Fédération nationale des Constructeurs immobiliers s'est également montrée sceptique affirmant que tout cela était «un sparadrap politique».