L'activité de construction en France devrait de nouveau ralentir légèrement en 2003, avec une baisse plus marquée pour le bâtiment que pour les travaux publics.
Selon les prévisions de la Direction des affaires économiques et internationales du ministère du Logement, parues mercredi, cette baisse devrait se situer entre 0,6% à 1,7%.
L'activité de travaux publics devrait progresser de 0,4% à 1,6%, grâce surtout aux travaux des collectivités locales, des entreprises publiques et des sociétés d'autoroutes, qui compenseraient la baisse de la maîtrise d'ouvrage privée (voirie et réseaux divers, France Télécom...), explique la direction.
En revanche l'activité du bâtiment diminuerait de 1,2% à 2,3%, dont une nette baisse de l'activité de construction neuve et d'entretien des bâtiments non résidentiels (-3,2% à -4,5%), à peine compensée par une résistance (entre -0,7% et +0,2%) de l'activité de construction de logements neufs et d'entretien-amélioration de logements neufs.
En 2002 et début 2003, les carnets de commandes des entreprises restent importants mais se réduisent un peu (de 6 mois à 5,4 mois d'activité), note le ministère de l'Equipement.
Ces estimations ont été réalisées "sans intégrer l'impact des mesures de relance qu'a pris le gouvernement en particulier en faveur de l'investissement locatif", souligne le document.
La Direction rappelle qu'en 2002 l'activté de la construction a légèrement fléchi (-1,6%) en volume, mais la production en valeur des entreprises du secteur a progressé, pour atteindre 121 milliards d'euros. Le fléchissement a été moins marqué dans le bâtiment (-1,3%) que dans les travaux publics (-2,5%). Enfin, l'emploi dans la construction est resté stable en 2002 (-0,4%), à 1,57 million de personnes.
L'activité de travaux publics devrait progresser de 0,4% à 1,6%, grâce surtout aux travaux des collectivités locales, des entreprises publiques et des sociétés d'autoroutes, qui compenseraient la baisse de la maîtrise d'ouvrage privée (voirie et réseaux divers, France Télécom...), explique la direction.
En revanche l'activité du bâtiment diminuerait de 1,2% à 2,3%, dont une nette baisse de l'activité de construction neuve et d'entretien des bâtiments non résidentiels (-3,2% à -4,5%), à peine compensée par une résistance (entre -0,7% et +0,2%) de l'activité de construction de logements neufs et d'entretien-amélioration de logements neufs.
En 2002 et début 2003, les carnets de commandes des entreprises restent importants mais se réduisent un peu (de 6 mois à 5,4 mois d'activité), note le ministère de l'Equipement.
Ces estimations ont été réalisées "sans intégrer l'impact des mesures de relance qu'a pris le gouvernement en particulier en faveur de l'investissement locatif", souligne le document.
La Direction rappelle qu'en 2002 l'activté de la construction a légèrement fléchi (-1,6%) en volume, mais la production en valeur des entreprises du secteur a progressé, pour atteindre 121 milliards d'euros. Le fléchissement a été moins marqué dans le bâtiment (-1,3%) que dans les travaux publics (-2,5%). Enfin, l'emploi dans la construction est resté stable en 2002 (-0,4%), à 1,57 million de personnes.