L’étude Manpower révèle que les anticipations dans le secteur de la construction en France devraient connaître une baisse de quatre points au quatrième trimestre 2005 par rapport au troisième trimestre. Le solde net de recrutement passe ainsi de 6% à 2%.
Au quatrième trimestre 2005, 13% des employeurs du secteur de la construction anticipent une augmentation de leurs effectifs. D’autre part, 11% pensent devoir licencier tandis que 70% estiment que leur nombre de leurs salariés va rester stable. Sur cette même période, le solde net* de recrutement s’élève ainsi à +2%. Bien que positif, il est néanmoins en baisse de 4% par rapport au 3ème trimestre 2005.
Sur les 10 secteurs d’activités étudiés, au total sept secteurs affichent un solde net de recrutement positif. Outre le secteur de la construction, figurent le transport et la logistique (+11%), l’industrie manufacturière (+10%) les activités financières, l’immobilier et les services au entreprises (+9%) ainsi que les services publics (+7%).
A échelle européenne ce sont les secteurs espagnol et irlandais de la construction qui demeurent les plus optimistes. Avec un solde net de 19%, ils arrivent donc en tête devant le Royaume-Uni (+13%), la Norvège (+10%) et la Suède (+9%). La France se place quant à elle au 9ème rang, et conserve la même place qu’au troisième trimestre.
*différentiel entre les intentions d’augmenter et de diminuer les effectifs.
Focus sur trois campagnes de recrutement «originales» du secteur dans l'e-magazine ConstruCom de septembre.
Sur les 10 secteurs d’activités étudiés, au total sept secteurs affichent un solde net de recrutement positif. Outre le secteur de la construction, figurent le transport et la logistique (+11%), l’industrie manufacturière (+10%) les activités financières, l’immobilier et les services au entreprises (+9%) ainsi que les services publics (+7%).
A échelle européenne ce sont les secteurs espagnol et irlandais de la construction qui demeurent les plus optimistes. Avec un solde net de 19%, ils arrivent donc en tête devant le Royaume-Uni (+13%), la Norvège (+10%) et la Suède (+9%). La France se place quant à elle au 9ème rang, et conserve la même place qu’au troisième trimestre.
*différentiel entre les intentions d’augmenter et de diminuer les effectifs.
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