La ville de Pau (64) a annoncé vendredi que le projet de médiathèque de Zaha Hadid, dotée d'un toit en fibre de carbone, était abandonné en raison d'une dérive en matière de coûts. Le budget global était évalué à 32 millions d’euros.
Signé par Zaha Hadid, le projet de médiathèque, dont le prix global était évalué à 32 millions d'euros, a été abandonné en raison de coût de construction trop important. Cédric Michon, directeur de la communication à la mairie de Pau a également expliqué qu’un problème technique concernant la réalisation de la coque en fibre de carbone avait été rencontré.
L'appel d'offres pour la fabrication de ce toit aux lignes futuristes et épurées, composé d'une double couche de fibre de carbone a été « infructueux » et les « prix ont explosé », a indiqué le directeur de la communication de la ville.
Il a par ailleurs ajouté que ce projet, lancé par la communauté d'agglomération, n'avait pas reçu le soutien financier espéré de 6,2 millions d'euros de la part du Fonds européen de développement régional Feder.
« Le projet architectural est abandonné mais pas l'idée de construire une médiathèque. On repart à zéro, en changeant le lieu pour la construction et en ayant comme objectif de réduire la facture », souligne Cédric Michon.
La communauté d'agglomération a déjà dépensé environ 1,5 million d'euros dans le projet, notamment en frais d’études, mais espère que cet investissement sera compensé par le moindre coût du nouveau projet.
L'appel d'offres pour la fabrication de ce toit aux lignes futuristes et épurées, composé d'une double couche de fibre de carbone a été « infructueux » et les « prix ont explosé », a indiqué le directeur de la communication de la ville.
Il a par ailleurs ajouté que ce projet, lancé par la communauté d'agglomération, n'avait pas reçu le soutien financier espéré de 6,2 millions d'euros de la part du Fonds européen de développement régional Feder.
« Le projet architectural est abandonné mais pas l'idée de construire une médiathèque. On repart à zéro, en changeant le lieu pour la construction et en ayant comme objectif de réduire la facture », souligne Cédric Michon.
La communauté d'agglomération a déjà dépensé environ 1,5 million d'euros dans le projet, notamment en frais d’études, mais espère que cet investissement sera compensé par le moindre coût du nouveau projet.
