Le gouvernement malaisien n'a pas donné son accord à la construction d'un nouvel aéroport à l'extérieur de Kuala Lumpur. La raison de ce véto : un problème de financement.
Le gouvernement malaisien vient de mettre un véto concernant le projet de construction d'un aéroport à l'extérieur de Kuala Lumpur voulue par la compagnie à bas coût AirAsia. Le vice-Premier ministre, Najib Razak, a justifié cette décision affirmant que le partenaire de la compagnie aérienne, le conglomérat malaisien Sime Darby, ne souhaitait pas débloquer une enveloppe de 218 millions de dollars nécessaires au projet dont le montant atteignait 460 millions de dollars.
Le fondateur d'AirAsia, Tony Fernandes, a déclaré qu'il se conformerait à la décision gouvernementale. «Nous sommes heureux de rester à l'aéroport international de Kuala Lumpur, mais les aéroports malaisiens doivent fournir un service efficace à des coûts bas», a-t-il indiqué à l'AFP.
Actuellement, AirAsia partage avec deux autres compagnies, un terminal réservé aux compagnies à bas coût, situé près de l'aéroport international de la capitale.
Le fondateur d'AirAsia, Tony Fernandes, a déclaré qu'il se conformerait à la décision gouvernementale. «Nous sommes heureux de rester à l'aéroport international de Kuala Lumpur, mais les aéroports malaisiens doivent fournir un service efficace à des coûts bas», a-t-il indiqué à l'AFP.
Actuellement, AirAsia partage avec deux autres compagnies, un terminal réservé aux compagnies à bas coût, situé près de l'aéroport international de la capitale.
