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Le conseil général du Pas-de-Calais lance un plan de six ans pour la protection de son site des Deux-Caps, périmètre côtier classé «Grand site national», situé entre Calais et Boulogne.
Le coup d’envoi vient d’être donné, par la signature d'une convention partenariale, pour le chantier du site des Deux-Caps. Bien connu pour ses falaises du Gris Nez et du cap du Blanc nez, le site est fréquenté chaque année par plus d’un million de visiteurs. Une fréquentation touristique, dont le piétinement et le stationnement incontrôlé génèrent une dégradation de l’environnement.
En 1999, un programme d’actions - dont l’avis favorable a été délivré en septembre dernier par la commission supérieure des sites - a donc été élaboré par le parc naturel des Caps et Marais d’Opale. Les principales mesures portent sur le déplacement des parkings, en retrait, sur des travaux de renaturalisation «écologique et paysagère» et sur la création de sentiers.
Le Conseil général assure la maîtrise d’ouvrage de cette opération, dont le coût est estimé à 14 millions d’euros. Un première phase de 7 millions d’euros vient d’être est lancée pour 3 ans, avec le soutien de Bruxelles (50 %) et une participation égale (1,75 million d’euros) du conseil général et de la région. Le chantier s’étendra jusqu’en 2011.
Surveillée depuis de nombreuses années, la zone, classée « Grand site national » a déjà bénéficié de différents travaux (enfouissement des lignes électriques et téléphoniques, notamment). Le département avait également déjà procédé à des acquisitions foncières pour un total de 600 hectares.
En 1999, un programme d’actions - dont l’avis favorable a été délivré en septembre dernier par la commission supérieure des sites - a donc été élaboré par le parc naturel des Caps et Marais d’Opale. Les principales mesures portent sur le déplacement des parkings, en retrait, sur des travaux de renaturalisation «écologique et paysagère» et sur la création de sentiers.
Le Conseil général assure la maîtrise d’ouvrage de cette opération, dont le coût est estimé à 14 millions d’euros. Un première phase de 7 millions d’euros vient d’être est lancée pour 3 ans, avec le soutien de Bruxelles (50 %) et une participation égale (1,75 million d’euros) du conseil général et de la région. Le chantier s’étendra jusqu’en 2011.
Surveillée depuis de nombreuses années, la zone, classée « Grand site national » a déjà bénéficié de différents travaux (enfouissement des lignes électriques et téléphoniques, notamment). Le département avait également déjà procédé à des acquisitions foncières pour un total de 600 hectares.
