Dominique Mallay, responsable du développement et de lanimation territoriale à la Fondation Abbé Pierre a pointé du doigt mercredi lors dune visite à Montpellier la région Languedoc-Roussillon en raison de son manque de logements sociaux.
Une trentaine de ville du Languedoc-Roussillon, région jeune et marquée par le chômage, « ne construisent pas de logement social », sest insurgé Dominique Mallay.
La fondation, qui ouvrira une antenne dans la région en septembre, a fait remarqué quactuellement les logements sociaux du Languedoc-Roussillon ne représentaient que 10,3% du parc total tandis que la moyenne nationale sélève à 17,3%. Et ce, alors que la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) impose aux municipalités de plus de 3.500 habitants un quota de 20% de logements sociaux.
« Malgré un plan de construction de 4.500 logements sociaux par an, il y a un tel retard quil va falloir 10 ans pour le rattraper », explique le responsable du développement et de lanimation territoriale. LInsee et la Caisse dallocations familiales comptent 52.000 demandes de logements sociaux tandis que la fondation Abbé Pierre avance le chiffre de 70.000 demandes.
Dominique Mallay a par ailleurs ajouté que 40.000 logements sont « indignes », insalubres ou dangereux, dans le Gard et 36.000 dans lHérault.
La fondation, qui ouvrira une antenne dans la région en septembre, a fait remarqué quactuellement les logements sociaux du Languedoc-Roussillon ne représentaient que 10,3% du parc total tandis que la moyenne nationale sélève à 17,3%. Et ce, alors que la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) impose aux municipalités de plus de 3.500 habitants un quota de 20% de logements sociaux.
« Malgré un plan de construction de 4.500 logements sociaux par an, il y a un tel retard quil va falloir 10 ans pour le rattraper », explique le responsable du développement et de lanimation territoriale. LInsee et la Caisse dallocations familiales comptent 52.000 demandes de logements sociaux tandis que la fondation Abbé Pierre avance le chiffre de 70.000 demandes.
Dominique Mallay a par ailleurs ajouté que 40.000 logements sont « indignes », insalubres ou dangereux, dans le Gard et 36.000 dans lHérault.