Sur l'ensemble de l'année 2004, le volume des ventes déclarées de parquets a atteint 9.500.135 mètres carrés, soit une progression de 1 % par rapport à 2003, selon les chiffres de l'Union française des fabricants et entrepreneurs de parquets (UFFEP). Côté tendances, on remarque un engouement particulier pour les bois exotiques et les parquets vieillis.
«Dans une conjoncture qualifiée de morose, le marché du parquet se porte bien», déclare Louis Borg, président de l'Union française des fabricants et entrepreneurs de parquets (UFFEP). Et bien que le marché ne progresse que de 1%, «nous sommes dans la mouvance du marché européen qui, lui, progresse de 5%, l'Espagne, l'Europe du Nord et l'Italie affichant la plus forte hausse», ajoute-t-il.
Dans ce contexte, le volume de parquets importés en France s'élève à 2.124.212 m2 soit +10% par rapport à 2003, contre 1.156.378 m2 exportés, soit +25% par rapport à 2003.
Côté essence du bois, on remarque une très forte progression de la production de parquets en hêtre (+38 %), suivis des bois tropicaux (+5%) et du châtaigner (+3,2%). Seul le pin perd des parts de marché, avec une chute de 6,4%. Si le chêne progresse de 0,38% seulement, il détient toujours la palme avec 4.963.889 m2 produits en 2004, suivi du pin (4.400.000m2), des bois tropicaux (1.044.970m2), du hêtre (537.155m2) et du châtaignier (283.449 m2).
«Les bois exotiques séduisent de plus en plus de consommateurs grâce à leurs teintes rouge et foncées. Leur design est véritablement plébiscité et les ventes en constante ascension depuis quelques années», explique Louis Borg.
En matière de tendances, outre l'essor des bois exotiques, le retour aux valeurs traditionnelles se fait clairement ressentir. Ainsi, les parquets brossés et vieillis séduisent de plus en plus, avec des teintes et des finitions faisant ressortir le veinage du bois. Toujours selon Louis Borg, «en surface, les traitements actuels rappellent l'authenticité des parquets d'antan. Le bois «usé» est très en vogue».
D'autre part, les systèmes de pose rapide sans colle favorisent l'essor des parquets contrecollés 3 plis, au détriment des 2 plis, plus compliqués à mettre en ?uvre, selon Louis Borg. Et ce dernier de conclure : «Les parquets massifs sont toujours très appréciés et nous notons, depuis 4 ans, un accroissement des parquets à coller à plein».
Dans ce contexte, le volume de parquets importés en France s'élève à 2.124.212 m2 soit +10% par rapport à 2003, contre 1.156.378 m2 exportés, soit +25% par rapport à 2003.
Côté essence du bois, on remarque une très forte progression de la production de parquets en hêtre (+38 %), suivis des bois tropicaux (+5%) et du châtaigner (+3,2%). Seul le pin perd des parts de marché, avec une chute de 6,4%. Si le chêne progresse de 0,38% seulement, il détient toujours la palme avec 4.963.889 m2 produits en 2004, suivi du pin (4.400.000m2), des bois tropicaux (1.044.970m2), du hêtre (537.155m2) et du châtaignier (283.449 m2).
«Les bois exotiques séduisent de plus en plus de consommateurs grâce à leurs teintes rouge et foncées. Leur design est véritablement plébiscité et les ventes en constante ascension depuis quelques années», explique Louis Borg.
En matière de tendances, outre l'essor des bois exotiques, le retour aux valeurs traditionnelles se fait clairement ressentir. Ainsi, les parquets brossés et vieillis séduisent de plus en plus, avec des teintes et des finitions faisant ressortir le veinage du bois. Toujours selon Louis Borg, «en surface, les traitements actuels rappellent l'authenticité des parquets d'antan. Le bois «usé» est très en vogue».
D'autre part, les systèmes de pose rapide sans colle favorisent l'essor des parquets contrecollés 3 plis, au détriment des 2 plis, plus compliqués à mettre en ?uvre, selon Louis Borg. Et ce dernier de conclure : «Les parquets massifs sont toujours très appréciés et nous notons, depuis 4 ans, un accroissement des parquets à coller à plein».
