Deux jours avant la cérémonie des Césars qui couronne chaque année le meilleur du cinéma français, les «Gérard du cinéma» distribuaient jeudi soir des parpaings de 10 kg en guise de trophées pour saluer «les pires acteurs, réalisateurs et productions du cinéma français».
Ces nouvelles distinctions sont les équivalents français des Razzie Awards d'Hollywood. Et sans surprise, les lauréats n'étaient pas présents jeudi soir au Baron, célèbre discothèque parisienne, pour recevoir leur parpaing.
Dans la catégorie «plus mauvais acteur», Michael Youn a été désigné pour «Iznogoud», réalisé par Patrick Braoudé, salué lui-même par deux prix : «plus mauvais réalisateur» et «plus mauvais film». Arielle Dombasle a remporté le «Gérard du cinéma» de la plus mauvaise actrice dans «Le Courage d'aimer», tandis qu'Arthur Jugnot a été désigné «plus mauvais acteur ou actrice fils ou fille de».
Décernés dans quinze catégories, les «Gérard du cinéma» à l'esprit «potache et révolutionnaire», sont placés «sous la tutelle et morale du prénom symbole du patrimoine-cinéma français (Gérard Depardieu, Gérard Jugnot, Gérard Darmon...)».
Dans la catégorie «plus mauvais acteur», Michael Youn a été désigné pour «Iznogoud», réalisé par Patrick Braoudé, salué lui-même par deux prix : «plus mauvais réalisateur» et «plus mauvais film». Arielle Dombasle a remporté le «Gérard du cinéma» de la plus mauvaise actrice dans «Le Courage d'aimer», tandis qu'Arthur Jugnot a été désigné «plus mauvais acteur ou actrice fils ou fille de».
Décernés dans quinze catégories, les «Gérard du cinéma» à l'esprit «potache et révolutionnaire», sont placés «sous la tutelle et morale du prénom symbole du patrimoine-cinéma français (Gérard Depardieu, Gérard Jugnot, Gérard Darmon...)».