La cinquième édition de Paris Plages, qui se déroulera du 20 juillet au 20 août, sera placée sous le signe de la Polynésie française. Déployée comme chaque année sur trois kilomètres rive droite, l’animation de la Ville de Paris innove cette année pour s'installer également rive gauche sur un kilomètre.
La partie de rive gauche de Paris Plages se situera entre le pont de Bercy et le pont de Tolbiac, autour de la nouvelle piscine flottante Seine Est, qui devrait s'appeler Joséphine Baker. Rive gauche, Paris Plages sera ouvert «24 heures sur 24» et rive droite de 8H30 à minuit, comme l'an dernier.
Parmi les autres installations de cette année, un «bassin de baignade» sera réinstallé quai des Célestins, rive droite, ainsi que 7 fontaines à eau. Au pied du pont Marie, un espace Tahiti accueillera le public dans deux farés (maisons traditionnelles) pour des animations, cours de danses comme les vahinés et massages. De nombreux spectacles y sont prévus, dont le ballet show Tahiti Nui. Les enfants seront «rois» de Paris Plages, selon le maire, qui souligne le côté «solidaire et convivial» de cette manifestation créée en 2002 et imitée depuis par Rome, Berlin, Bruxelles ou Prague. Pour eux : un bac à sable de 400 m2 et un grand jeu de piste sur le thème de l'eau. Opération de détente qui mobilisera cette année 300 transats, 240 parasols, 24 hamacs, 47 cabines de plage, 17 pergolas et utilisera 2.500 tonnes de sable, Paris Plages avait enregistré l'an dernier quelque 4 millions de «passages».
Pour cette année, le budget atteint un coût global de 2,2 millions d’euros dont 900.000 euros incombent à la Ville de Paris, le reste (1,3 M EUR) provenant de l'apport de partenaires qui n'ont toutefois pas le droit de faire de la publicité sur le site. Le maire souhaite que, les prochaines années, la part de la Ville soit plus faible.
Parmi les autres installations de cette année, un «bassin de baignade» sera réinstallé quai des Célestins, rive droite, ainsi que 7 fontaines à eau. Au pied du pont Marie, un espace Tahiti accueillera le public dans deux farés (maisons traditionnelles) pour des animations, cours de danses comme les vahinés et massages. De nombreux spectacles y sont prévus, dont le ballet show Tahiti Nui. Les enfants seront «rois» de Paris Plages, selon le maire, qui souligne le côté «solidaire et convivial» de cette manifestation créée en 2002 et imitée depuis par Rome, Berlin, Bruxelles ou Prague. Pour eux : un bac à sable de 400 m2 et un grand jeu de piste sur le thème de l'eau. Opération de détente qui mobilisera cette année 300 transats, 240 parasols, 24 hamacs, 47 cabines de plage, 17 pergolas et utilisera 2.500 tonnes de sable, Paris Plages avait enregistré l'an dernier quelque 4 millions de «passages».
Pour cette année, le budget atteint un coût global de 2,2 millions d’euros dont 900.000 euros incombent à la Ville de Paris, le reste (1,3 M EUR) provenant de l'apport de partenaires qui n'ont toutefois pas le droit de faire de la publicité sur le site. Le maire souhaite que, les prochaines années, la part de la Ville soit plus faible.
Lafarge renouvelle son partenariat
Pour la quatrième année consécutive, le groupe Lafarge est partenaire de la Mairie de Paris pour l'opération Paris Plages et, à cette occasion, fournit et achemine par voie fluviale les 2.000 tonnes de sable nécessaires à la réalisation des différentes zones (parvis de l'Hôtel de Ville, «espace enfants» et plages sur les quais). La livraison du sable s’effectue en un seul convoi fluvial, permettant ainsi «d’éviter l’équivalent d'environ 80 camions ou 35 wagons de train», selon un communiqué de Lafarge.
Pour la quatrième année consécutive, le groupe Lafarge est partenaire de la Mairie de Paris pour l'opération Paris Plages et, à cette occasion, fournit et achemine par voie fluviale les 2.000 tonnes de sable nécessaires à la réalisation des différentes zones (parvis de l'Hôtel de Ville, «espace enfants» et plages sur les quais). La livraison du sable s’effectue en un seul convoi fluvial, permettant ainsi «d’éviter l’équivalent d'environ 80 camions ou 35 wagons de train», selon un communiqué de Lafarge.
