Le conseil d'administration de Réseau Ferré de France (RFF) a décidé de poursuivre la préparation du projet de ligne à grande vitesse Provence-Alpes-Côte-d'Azur jusqu'à Nice.
Cette décision porte sur l'opportunité de faire cette ligne, qui doit mettre Nice à moins de quatre heures de Paris, mais pas sur son tracé.
S'appuyant sur les conclusions du débat public sur ce projet, RFF souligne dans un communiqué la «réussite de ce débat, l'importance de la participation du public, la qualité et la diversité des échanges». Le tracé exact de cette ligne sera décidé après des études complémentaires, que RFF lancera en 2006 pour vérifier «les performances et la faisabilité des différentes solutions en prenant pour scénario de référence (la) solution des métropoles du sud», précise le communiqué.
Selon la commission particulière du débat public, les nombreuses contributions produites ont fait ressortir trois types de solutions : la première pour réduire le plus possible la durée du trajet entre Nice et Paris (dit LGV Côte-d'Azur); la deuxième desservant en chapelet les métropoles littorales (dit LGV des métropoles du sud); la troisième portant sur des liaisons régionales rapides appuyées sur le réseau existant (dit LGV des solutions alternatives). La solution de la LGV des métropoles du sud a la préférence des grandes collectivités territoriales comme répondant le mieux à leur vision de l'aménagement du territoire.
Au regard de l'importance des financements nécessaires à la réalisation du projet et des demandes d'études complémentaires formulées au cours du débat, le conseil d'administration a estimé nécessaire d'approfondir la comparaison des différentes solutions en précisant les temps de parcours, les dessertes et les avantages socio-économiques. Avant d'arrêter le «fuseau» définitif, RFF lancera donc en 2006 des études complémentaires destinées à vérifier les performances et la faisabilité des trois solutions, en prenant pour référence celle de la LGV des métropoles du sud, en concertation étroite avec les acteurs locaux.
S'appuyant sur les conclusions du débat public sur ce projet, RFF souligne dans un communiqué la «réussite de ce débat, l'importance de la participation du public, la qualité et la diversité des échanges». Le tracé exact de cette ligne sera décidé après des études complémentaires, que RFF lancera en 2006 pour vérifier «les performances et la faisabilité des différentes solutions en prenant pour scénario de référence (la) solution des métropoles du sud», précise le communiqué.
Selon la commission particulière du débat public, les nombreuses contributions produites ont fait ressortir trois types de solutions : la première pour réduire le plus possible la durée du trajet entre Nice et Paris (dit LGV Côte-d'Azur); la deuxième desservant en chapelet les métropoles littorales (dit LGV des métropoles du sud); la troisième portant sur des liaisons régionales rapides appuyées sur le réseau existant (dit LGV des solutions alternatives). La solution de la LGV des métropoles du sud a la préférence des grandes collectivités territoriales comme répondant le mieux à leur vision de l'aménagement du territoire.
Au regard de l'importance des financements nécessaires à la réalisation du projet et des demandes d'études complémentaires formulées au cours du débat, le conseil d'administration a estimé nécessaire d'approfondir la comparaison des différentes solutions en précisant les temps de parcours, les dessertes et les avantages socio-économiques. Avant d'arrêter le «fuseau» définitif, RFF lancera donc en 2006 des études complémentaires destinées à vérifier les performances et la faisabilité des trois solutions, en prenant pour référence celle de la LGV des métropoles du sud, en concertation étroite avec les acteurs locaux.