Si elle est élue maire de Paris en mars prochain, Françoise de Panafieu s'engage à consacrer à la politique du logement «50% des droits de mutation aujourd'hui perçus par la mairie de Paris à chaque transaction immobilière».
Françoise de Panafieu insiste sur l'éradication des logements insalubres qui «devront avoir disparu de Paris» à la fin de la prochaine mandature. «S'il le faut, je demanderai à l'Etat de réquisitionner les immeubles concernés», souligne-t-elle, la lutte contre l'insalubrité nécessitant selon l'UMP un plan de grande ampleur.
La candidate UMP parle de «l'échec de Delanoë» alors que le maire PS sortant «avait promis en 2001 la transparence pour l'attribution de logements sociaux, l'éradication du logement insalubre, la relance de la production de logements à loyer modéré». Selon Françoise de Panafieu, «il avait les moyens de réaliser ses promesses» car «il a été le plus gros bénéficiaire de la spéculation immobilière», ayant perçu 900 millions d’euros de droits de mutation en 2007, soit plus du double du montant de 2001.
La candidate UMP parle de «l'échec de Delanoë» alors que le maire PS sortant «avait promis en 2001 la transparence pour l'attribution de logements sociaux, l'éradication du logement insalubre, la relance de la production de logements à loyer modéré». Selon Françoise de Panafieu, «il avait les moyens de réaliser ses promesses» car «il a été le plus gros bénéficiaire de la spéculation immobilière», ayant perçu 900 millions d’euros de droits de mutation en 2007, soit plus du double du montant de 2001.
