INFOGRAPHIE. Entrée en vigueur le 1er juillet 2024, la réforme du mode de calcul des DPE pour les petites surfaces a sensiblement réduit le nombre de logements énergivores, selon les derniers chiffres publiés le 17 décembre 2024 par l'Observatoire national de la rénovation énergétique.


Il y a un an, le DPE en vigueur au 1er janvier 2024 était défavorable aux logements de petites surfaces. Les logements les plus petits étaient plus souvent classés parmi les plus énergivores : 28% des logements de moins de 30 m² affichaient une étiquette F ou G, contre seulement 10,1% pour les logements de plus de 100 m². Des raisons en partie techniques expliquaient cette catégorisation défavorable comme le calcul des critères lié à la consommation d'eau chaude sanitaire ou l'indice de compacité thermique.

 

Nouveau mode de calcul entré en vigueur le 1er juillet 2024

 

Suite à l'adoption d'un arrêté du 25 mars 2024, le mode de calcul du DPE a évolué au 1er juillet 2024 pour les logements de moins de 40 m2. L'Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) s'est livré à une estimation pour mesurer l'impact de cette réforme. Sans surprise, le nombre de "passoires" énergétiques (étiquettes F et G) au sein des logements de petites surfaces (30m2 et moins) a
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