La Fédération des professionnels de la piscine (FPP) a annoncé mardi une nouvelle progression du parc de piscines privées en France en 2006. Malgré un léger tassement, le marché a encore le vent en poupe.
Le parc français des piscines privées a progressé de 8% en 2006, à 1,248 million de piscines, dont 801.000 entérées et 447 000 hors-sol.Une nouvelle croissance que la Fédération des professionnels de la piscine (FPP) explique notamment par une professionnalisation croissante du secteur.
Si le marché a connu un léger tassement en 2006 par rapport à de forts taux de progression de 9,3% en 2005 et de 13,8% en 2004 le marché poursuit sa consolidation. Et ce, «à un niveau élevé», selon Jean Lermite, président de la Fédération des professionnels de la piscine. «De 2001 à 2006, le nombre total de piscines a progressé de plus de 60% grâce notamment à la mobilisation de toute la filière, engagée dans une démarche d'innovation et de professionnalisation», affirme-t-il.
En effet pour répondre une demande toujours plus importante, les professionnels du secteur ont créé une charte déontologique qui édicte un code de bonne conduite de la filière. Lobjectif : se structurer et renforcer le professionnalisation du secteur.
Egalement touchée par le manque de main-duvre, la profession qui a créé 3.000 emplois directs ou indirects au cours des deux dernières années réclame aussi la mise en place de nouvelles formations.
Si le marché a connu un léger tassement en 2006 par rapport à de forts taux de progression de 9,3% en 2005 et de 13,8% en 2004 le marché poursuit sa consolidation. Et ce, «à un niveau élevé», selon Jean Lermite, président de la Fédération des professionnels de la piscine. «De 2001 à 2006, le nombre total de piscines a progressé de plus de 60% grâce notamment à la mobilisation de toute la filière, engagée dans une démarche d'innovation et de professionnalisation», affirme-t-il.
En effet pour répondre une demande toujours plus importante, les professionnels du secteur ont créé une charte déontologique qui édicte un code de bonne conduite de la filière. Lobjectif : se structurer et renforcer le professionnalisation du secteur.
Egalement touchée par le manque de main-duvre, la profession qui a créé 3.000 emplois directs ou indirects au cours des deux dernières années réclame aussi la mise en place de nouvelles formations.