Organisée par lENSTIB (UHPNancy) et lENSA-Nancy, en partenariat avec lENSA-Strasbourg, la troisième édition des «Défis du Bois» a proposé cette année à 36 élèves architectes et ingénieurs de construire une structure en bois innovante au Centre des Congrès dEpinal. Les trophées ont été décernés samedi dernier.
Pendant une semaine (du 11 au 18 février), huit équipes mixtes composées délèves de la spécialité de Master « matériau bois et mise en oeuvre dans la construction », délèves ingénieurs de lENSTIB, dingénieurs en Mastère Spécialisé CHEB (Centre des Hautes Études de la Construction, Paris), darchitectes et ingénieurs de lUniversité Catholique de Louvain la Neuve (Belgique) et de lES Bois de Bienne (Suisse) se sont affrontées pour relever les « Défis du Bois » en créant une vigie daffût environnemental.
Le concours avait pour objectif de créer une plate-forme dobservation et de mesures de la qualité environnementale, qui pouvait être utilisée en milieu urbain et servir par exemple à vérifier la qualité de lair ou le niveau sonore dun site. Elle pouvait aussi être utilisée « en milieu sylvestre pour observer les éléments de biodiversité à la cime des arbres ou recueillir des dépôts de pollution », soulignent les organisateurs. La plate-forme devait être par ailleurs économe en matière et autonome en énergie.
À partir dun mat légèrement incliné et lesté en son pied par un bulbe en béton, les équipes ont projeté une plate-forme couverte ou close capable de supporter une charge denviron 300 kg. La plate forme devait être accessible depuis la base dappui et devait pouvoir permettre datteindre des éléments situés à plus de cinq mètres du mat. « Aucun élément ne prendra appui sur le sol. Les repos et les fixations sur la partie supérieure du bulbe sont acceptés », ajoutait le cahier des charges du concours.
Pour ce faire, les compétiteurs avaient « un stock de matériaux déterminé », souligne Flora Bignon, attachée de presse pour Les Défis du Bois. Ils devaient en en effet choisir leurs ressources parmi des produits tels que des lattes de 25 x 38 mm, des voliges de 12 X 110 mm, des planches de 21 x 150 mm, ou encore des baliveaux de diamètre 60 mm le tout en 3 ou 4 m de longueur. Trois modes dassemblages ont été utilisés (des vis de 4 mm, des tiges filetées avec écrous de 8 mm, des liens souples). Une toile de jersey (lé de 1,60 mètre) permettait dautre part à esquisser lenveloppe.
Le jury, présidé par Luc Charmasson, industriel et président de la Fédération de lIndustrie Bois-Construction (FIBC), a remis samedi dernier les trophées. Les équipes Arum@ et Haute volige ont été récompensées pour leur plate-forme. Après louverture au public dimanche du Centre des Congrès, les structures ont été démontées lundi afin de recycler leur bois.
Pour voir le palmarès, cliquez ici
Le concours avait pour objectif de créer une plate-forme dobservation et de mesures de la qualité environnementale, qui pouvait être utilisée en milieu urbain et servir par exemple à vérifier la qualité de lair ou le niveau sonore dun site. Elle pouvait aussi être utilisée « en milieu sylvestre pour observer les éléments de biodiversité à la cime des arbres ou recueillir des dépôts de pollution », soulignent les organisateurs. La plate-forme devait être par ailleurs économe en matière et autonome en énergie.
À partir dun mat légèrement incliné et lesté en son pied par un bulbe en béton, les équipes ont projeté une plate-forme couverte ou close capable de supporter une charge denviron 300 kg. La plate forme devait être accessible depuis la base dappui et devait pouvoir permettre datteindre des éléments situés à plus de cinq mètres du mat. « Aucun élément ne prendra appui sur le sol. Les repos et les fixations sur la partie supérieure du bulbe sont acceptés », ajoutait le cahier des charges du concours.
Pour ce faire, les compétiteurs avaient « un stock de matériaux déterminé », souligne Flora Bignon, attachée de presse pour Les Défis du Bois. Ils devaient en en effet choisir leurs ressources parmi des produits tels que des lattes de 25 x 38 mm, des voliges de 12 X 110 mm, des planches de 21 x 150 mm, ou encore des baliveaux de diamètre 60 mm le tout en 3 ou 4 m de longueur. Trois modes dassemblages ont été utilisés (des vis de 4 mm, des tiges filetées avec écrous de 8 mm, des liens souples). Une toile de jersey (lé de 1,60 mètre) permettait dautre part à esquisser lenveloppe.
Le jury, présidé par Luc Charmasson, industriel et président de la Fédération de lIndustrie Bois-Construction (FIBC), a remis samedi dernier les trophées. Les équipes Arum@ et Haute volige ont été récompensées pour leur plate-forme. Après louverture au public dimanche du Centre des Congrès, les structures ont été démontées lundi afin de recycler leur bois.
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