Confirmant une information parue mercredi dans le Canard Enchaîné, la CGT-Construction a affirmé que des salariés espagnols ont été employés «au noir» sur un chantier au siège parisien de la DGSE (Direction générale de la sécurité intérieure) à Paris.
La CGT-Construction avait été contactée en juin par deux ouvriers espagnols, employés par une entreprise portugaise de tuyauterie (Tufama) sous-traitante de la société de construction française Spie, qui sétaient plaintes de l'absence de contrat de travail et de bulletin de paye.
Selon le Canard Enchainé, «les deux Espagnols, rentrés depuis au pays, attendent toujours et n'ont touché que leur arriéré de salaire: 2.000 euros».
Les entreprises sous-traitantes intervenant sur le type de chantier mentionné par le Canard Enchaîné doivent obligatoirement présenter des documents attestant de la régularité de leur situation au regard des codes du travail -en particulier de l'Urssaf-, du commerce, des impôts et pénal, selon cette source. En outre, la DGSE demande des éléments individuels sur l'identité et le séjour.
Selon le Canard Enchainé, «les deux Espagnols, rentrés depuis au pays, attendent toujours et n'ont touché que leur arriéré de salaire: 2.000 euros».
Les entreprises sous-traitantes intervenant sur le type de chantier mentionné par le Canard Enchaîné doivent obligatoirement présenter des documents attestant de la régularité de leur situation au regard des codes du travail -en particulier de l'Urssaf-, du commerce, des impôts et pénal, selon cette source. En outre, la DGSE demande des éléments individuels sur l'identité et le séjour.