La brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) effectue actuellement une enquête préliminaire sur les conditions dacquisition par Nicolas Sarkozy de son appartement à Neuilly.
Selon une source judiciaire, le parquet de Nanterre vient de confier une enquête préliminaire à la BRDE sur les conditions dacquisition par Nicolas Sarkozy de son appartement à Neuilly.
«Le procureur de la République de Nanterre a le dossier sur son bureau. Il n'a pas encore pris de décision pour l'heure» sur les suites de cette enquête.
Interrogé mardi par l'AFP, le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, a indiqué que la présidence n'avait «aucun commentaire» à faire sur l'ouverture de l'enquête préliminaire. A lissue de lenquête préliminaire, il pourrait y avoir soit un classement sans suite, soit louverture dune enquête judiciaire.
Cette enquête préliminaire fait suite à un article paru dans le Canard Enchaîné le 7 mars dernier, affirmant que Nicolas Sarkozy avait bénéficié dun rabais «d'au moins 300.000 euros» de la part du promoteur immobilier Lasserre sur l'achat en 1997 de son appartement de Neuilly, construit sur un terrain fourni par la mairie alors qu'il en était le maire. Nicolas Sarkozy, qui a revendu le logement en 2006, avait alors démenti, évoquant «des conditions de régularité totale».
«Le procureur de la République de Nanterre a le dossier sur son bureau. Il n'a pas encore pris de décision pour l'heure» sur les suites de cette enquête.
Interrogé mardi par l'AFP, le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, a indiqué que la présidence n'avait «aucun commentaire» à faire sur l'ouverture de l'enquête préliminaire. A lissue de lenquête préliminaire, il pourrait y avoir soit un classement sans suite, soit louverture dune enquête judiciaire.
Cette enquête préliminaire fait suite à un article paru dans le Canard Enchaîné le 7 mars dernier, affirmant que Nicolas Sarkozy avait bénéficié dun rabais «d'au moins 300.000 euros» de la part du promoteur immobilier Lasserre sur l'achat en 1997 de son appartement de Neuilly, construit sur un terrain fourni par la mairie alors qu'il en était le maire. Nicolas Sarkozy, qui a revendu le logement en 2006, avait alors démenti, évoquant «des conditions de régularité totale».