LOffice public daménagement et de construction (Opac) des Vosges vient dêtre condamné à 50.000 euros damende par le tribunal correctionnel dEpinal. En 2002, la rupture dune rambarde avait entrainé la chute mortelle dune locataire.
En novembre 2002, la locataire dun logement géré par lOpac des Vosges chutait de six mètres depuis la porte-fenêtre de son appartement du deuxième étage dune résidence HLM de Saint-Maurice-sur-Moselle (Vosges).
La rambarde sur laquelle elle sappuyait pour nourrir ses oiseaux a lâché. LOpac vient dêtre condamné à 50.000 euros damende au motif que la rambarde navait pas été entretenue. «Les rambardes nétaient pas peintes. La pourriture avait fait son uvre, et certains éléments en bois navaient pas été entretenus,» argumente Me François Robinet, lavocat des parties civiles. «A travers son manquement à l'obligation d'entretien et de test de solidité, l'Opac a commis une faute consistante car la rambarde était un élément de sécurité,» poursuit-il.
Le substitut du procureur d'Epinal, Laetitia Costantini, avait requis une amende trois fois supérieure, de 150.000 euros.
La rambarde sur laquelle elle sappuyait pour nourrir ses oiseaux a lâché. LOpac vient dêtre condamné à 50.000 euros damende au motif que la rambarde navait pas été entretenue. «Les rambardes nétaient pas peintes. La pourriture avait fait son uvre, et certains éléments en bois navaient pas été entretenus,» argumente Me François Robinet, lavocat des parties civiles. «A travers son manquement à l'obligation d'entretien et de test de solidité, l'Opac a commis une faute consistante car la rambarde était un élément de sécurité,» poursuit-il.
Le substitut du procureur d'Epinal, Laetitia Costantini, avait requis une amende trois fois supérieure, de 150.000 euros.