Dans un communiqué commun, la Fédération nationale des Offices HLM et l'Union nationale des associations familiales (UNAF) expriment leur convergence d'analyses et de propositions dans le contexte actuel de crise du logement.
A l'occasion des Assises du logement, la Fédération nationale des Offices HLM et l'Union nationale des associations familiales (UNAF) ont déclaré que "le plan pour la cohésion sociale proposé par Jean-Louis Borloo doit donner une priorité au logement pour mieux répondre aux attentes des familles". La Fédération des Offices rappelle qu'il faut construire, selon elle, au moins 90.000 logements sociaux (PLUS, PLAI) par an.
"Il faut une volonté politique pour améliorer la situation du logement" a déclaré le Président de l'UNAF, Hubert Brin, demandant une meilleure adéquation entre les décisions pour la construction et la qualité des logements et les attentes des familles. Pour Jean-Pierre Caroff, Président de la Fédération des Offices "il faut une offre suffisante de logements sociaux, accessibles aux familles et bien répartis localement".
La Fédération des Offices et l'UNAF se prononcent ensemble en faveur d'une revalorisation des aides à la construction de logements sociaux (aides à la pierre). Elles dénoncent d'une même voix la dégradation des aides personnelles au logement résultant des mesures d'économie prises en 2003 qui conduisent à une diminution des prestations de 170 millions d'euros.
Afin d'assurer la solvabilisation des familles, elles insistent sur la nécessité d'améliorer le niveau des aides personnelles et de revenir sur des mesures d'économie excessive (prise en compte insuffisante des charges, fixation de seuils de versement, évaluation forfaitaire de ressources'). Elles souhaitent aussi une meilleure prise en compte de certaines situations de la vie : jeunes adultes demeurant au domicile familial, nouvelles situations parentales, logement des étudiants...
Concernant les évolutions annuelles des aides personnelles, la Fédération des Offices d'HLM et l'UNAF demandent que le loyer plafond des aides personnelles soit indexé sur l'indice du coût de la construction. Elles expriment leur opposition à une réforme qui conduirait à une actualisation du barème en début d'année par de simples mesures techniques et qui ne ferait pas une place suffisante à la concertation et à la transparence des décisions.
"Il faut une volonté politique pour améliorer la situation du logement" a déclaré le Président de l'UNAF, Hubert Brin, demandant une meilleure adéquation entre les décisions pour la construction et la qualité des logements et les attentes des familles. Pour Jean-Pierre Caroff, Président de la Fédération des Offices "il faut une offre suffisante de logements sociaux, accessibles aux familles et bien répartis localement".
La Fédération des Offices et l'UNAF se prononcent ensemble en faveur d'une revalorisation des aides à la construction de logements sociaux (aides à la pierre). Elles dénoncent d'une même voix la dégradation des aides personnelles au logement résultant des mesures d'économie prises en 2003 qui conduisent à une diminution des prestations de 170 millions d'euros.
Afin d'assurer la solvabilisation des familles, elles insistent sur la nécessité d'améliorer le niveau des aides personnelles et de revenir sur des mesures d'économie excessive (prise en compte insuffisante des charges, fixation de seuils de versement, évaluation forfaitaire de ressources'). Elles souhaitent aussi une meilleure prise en compte de certaines situations de la vie : jeunes adultes demeurant au domicile familial, nouvelles situations parentales, logement des étudiants...
Concernant les évolutions annuelles des aides personnelles, la Fédération des Offices d'HLM et l'UNAF demandent que le loyer plafond des aides personnelles soit indexé sur l'indice du coût de la construction. Elles expriment leur opposition à une réforme qui conduirait à une actualisation du barème en début d'année par de simples mesures techniques et qui ne ferait pas une place suffisante à la concertation et à la transparence des décisions.