Tout en restant prudent pour les mois à venir, le groupe français de travaux publics et électriques reste en ligne avec ses objectifs et a annoncé, pour le premier semestre, un bénéfice net de 22 millions d'euros, en hausse de 8%.
Le bénéfice net pour l'exercice 2002 devrait être "proche de l'objectif" prévu en début d'année, "en croissance de plus de 10% sur 2001", précise la société dans son communiqué.
L'an dernier, le groupe avait dégagé un bénéfice de 50,1 millions d'euros. Au premier semestre, Spie a affiché une hausse de 8% de son résultat d'exploitation, à 34,6 millions d'euros.
Si les résultats semestriels de Spie Trindel, Spie Energie Services, Spie Rail et Spie Batignolles sont "en ligne avec leurs objectifs annuels", celui de SBTP est, en revanche, marqué par le montant des charges et provisions exceptionnelles liées à la mise en oeuvre du plan social et à la réorganisation de ses activités à l'international, indique le groupe.
Les prises de commandes du premier semestre ont progressé de 11% sur celles de la période correspondante de 2001. La croissance est importante pour le pôle "Energie et communication" à +16% grâce à des commandes élevées enregistrées par Spie Capag. Les modifications de périmètre intervenues fin 2001 chez Financière Spie Trindel (acquisition de Spie Communications) ainsi que chez Spie Energie Services (acquisition de Foraid) ont également eu un impact sur cette évolution.
Concernant Spie Rail, la progression des prises de commandes de 129% "non significative" s'explique en partie par l'enregistrement du contrat quinquennal de maintenance pour la SNCF (117 millions d'euros) et par d'autres contrats pluriannuels pour la RATP (16,3 millions d'euros).
Après une année 2001 qui s'était révélée "exceptionnelle", Spie Batignolles a vu ses prises de commandes se replier de 17% en raison de la conjoncture générale du marché et des opérations de montage immobilier conclues l'année dernière.
Pour l'exercice en cours, la projection à 3,232 milliards d'euros reste "marquée d'une grande prudence dans la conjoncture actuelle", précise le groupe. "La mise en vigueur de nouveaux contrats dans le secteur pétrole/gaz pourrait compenser très largement la relative faiblesse de la conjoncture dans le domaine des activités régionales", souligne-t-il toutefois.
Au cours des six premiers mois de 2002, l'activité de Spie s'est accrue de 15% à 1,593 milliards d'euros.
A périmètre courant, le pôle "Energie et Communication" a affiché une hausse de 24% de son activité "compte tenu des acquisitions de Spie Communications et de Foraid". L'activité de Spie Rail a évolué de 12% et celle de Spie Batignolles de 11%.
Le groupe escompte une croissance d'environ 8% de son activité à 3,33 milliards d'euros par rapport à 2001 (3,08 milliards d'euros) "légèrement inférieure aux attentes exprimées en février (+10%), en raison de la faiblesse de la conjoncture qui persiste dans le secteur industriel en France".
L'an dernier, le groupe avait dégagé un bénéfice de 50,1 millions d'euros. Au premier semestre, Spie a affiché une hausse de 8% de son résultat d'exploitation, à 34,6 millions d'euros.
Si les résultats semestriels de Spie Trindel, Spie Energie Services, Spie Rail et Spie Batignolles sont "en ligne avec leurs objectifs annuels", celui de SBTP est, en revanche, marqué par le montant des charges et provisions exceptionnelles liées à la mise en oeuvre du plan social et à la réorganisation de ses activités à l'international, indique le groupe.
Les prises de commandes du premier semestre ont progressé de 11% sur celles de la période correspondante de 2001. La croissance est importante pour le pôle "Energie et communication" à +16% grâce à des commandes élevées enregistrées par Spie Capag. Les modifications de périmètre intervenues fin 2001 chez Financière Spie Trindel (acquisition de Spie Communications) ainsi que chez Spie Energie Services (acquisition de Foraid) ont également eu un impact sur cette évolution.
Concernant Spie Rail, la progression des prises de commandes de 129% "non significative" s'explique en partie par l'enregistrement du contrat quinquennal de maintenance pour la SNCF (117 millions d'euros) et par d'autres contrats pluriannuels pour la RATP (16,3 millions d'euros).
Après une année 2001 qui s'était révélée "exceptionnelle", Spie Batignolles a vu ses prises de commandes se replier de 17% en raison de la conjoncture générale du marché et des opérations de montage immobilier conclues l'année dernière.
Pour l'exercice en cours, la projection à 3,232 milliards d'euros reste "marquée d'une grande prudence dans la conjoncture actuelle", précise le groupe. "La mise en vigueur de nouveaux contrats dans le secteur pétrole/gaz pourrait compenser très largement la relative faiblesse de la conjoncture dans le domaine des activités régionales", souligne-t-il toutefois.
Au cours des six premiers mois de 2002, l'activité de Spie s'est accrue de 15% à 1,593 milliards d'euros.
A périmètre courant, le pôle "Energie et Communication" a affiché une hausse de 24% de son activité "compte tenu des acquisitions de Spie Communications et de Foraid". L'activité de Spie Rail a évolué de 12% et celle de Spie Batignolles de 11%.
Le groupe escompte une croissance d'environ 8% de son activité à 3,33 milliards d'euros par rapport à 2001 (3,08 milliards d'euros) "légèrement inférieure aux attentes exprimées en février (+10%), en raison de la faiblesse de la conjoncture qui persiste dans le secteur industriel en France".
