Clôturons cette neuvième Biennale de Lyon avec la quatrième vague de jeunes architectes français. Exposés jusqu'au 30 décembre à la Maison de l'Architecture Rhône-Alpes, les équipes Tank et Coloco vous font découvrir leurs projets, résolument tournés vers l'avenir. Petit aperçu en photos.
Coloco
Coloco, c'est la rencontre de deux frères, Pablo et Miguel Georgieff, tous deux nés à Buenos Aires, et de Nicolas Bonnenfant, né à Dunkerque. Deux architectes et un paysagiste constituent cette équipe atypique qui s'intéresse à la pensée de la ville contemporaine.
Au coeur de leurs préoccupations, l'écologie occupe une place de premier plan. «Il y a de plus en plus de richesses accumulées et de moins en moins d'espace naturel disponible. Cela amènera différents types de guerre, autres que des conflits militarisés». Si Coloco peut parfois avoir une vision alarmiste de l'avenir de notre planète, c'est pour mieux y pallier, réagir tant qu'il est temps.
Mais le trio n'en oublie pas pour autant qu'il «n'est pas nécessaire d'être triste pour être sérieux». Une certaine façon de répondre au formalisme qui peut toucher la profession et de «stimuler le bien vivre dans le travail qu'on a choisi de faire». Le leitmotiv de ce collectif concerné par la pédagogie, la transmission au public, pourrait être : «c'est en changeant de regard qu'on changera de pratiques».
Coloco, c'est la rencontre de deux frères, Pablo et Miguel Georgieff, tous deux nés à Buenos Aires, et de Nicolas Bonnenfant, né à Dunkerque. Deux architectes et un paysagiste constituent cette équipe atypique qui s'intéresse à la pensée de la ville contemporaine.
Au coeur de leurs préoccupations, l'écologie occupe une place de premier plan. «Il y a de plus en plus de richesses accumulées et de moins en moins d'espace naturel disponible. Cela amènera différents types de guerre, autres que des conflits militarisés». Si Coloco peut parfois avoir une vision alarmiste de l'avenir de notre planète, c'est pour mieux y pallier, réagir tant qu'il est temps.
Mais le trio n'en oublie pas pour autant qu'il «n'est pas nécessaire d'être triste pour être sérieux». Une certaine façon de répondre au formalisme qui peut toucher la profession et de «stimuler le bien vivre dans le travail qu'on a choisi de faire». Le leitmotiv de ce collectif concerné par la pédagogie, la transmission au public, pourrait être : «c'est en changeant de regard qu'on changera de pratiques».