Cinq personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de plusieurs affaires d'attribution de marchés avec la ville de Nice, dont celle du stade de football.
Quatre des suspects - parmi lesquels figure l'adjoint aux sports de la mairie, le secrétaire général et un responsable du nettoiement- sont entendus à Nice. Le cinquième est en garde à vue dans l'Essonne, indique-t-on de source judiciaire.
En effet, le parquet de Nice a ouvert le 24 octobre 2002 une information judiciaire pour "trafic d'influence, corruption et favoritisme" confiée au juge Christian Guéry. La justice s'intéresse à différents marchés d'appel d'offres, mais plus particulièrement à l'attribution, en octobre 2002, de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) à une société marseillaise en vue de la réalisation à l'horizon 2006 du Grand stade de football de l'OGC-Nice (32.000 places) d'un coût estimé à 98 millions d'euros.
Selon une source judiciaire, l'entreprise marseillaise, dont l'un des dirigeants est en garde à vue, aurait notamment bénéficié de "renseignements utiles" sur ses concurrents.
Trois policiers de la brigade financière de l'antenne niçoise du SRPJ de Marseille ont donc effectué mardi, pendant toute la matinée.
Cette perquisition porterait sur différents marchés d'appel d'offres, dont le plus important concerne le projet de Grand stade de football de l'OGC-Nice qui devait être livré en 2006.
Deux responsables de société, dont les identités n'ont pas été communiquées, également soupçonnés d'être impliqués dans ces affaires, ont été placés en garde à vue à Marseille et dans l'Essonne, a-t-on indiqué de même source. Ces deux hommes d'affaires devaient être conduits dans les locaux du commissariat de Nice.
Le premier, directeur général d'un cabinet d'assistance en maîtrise d'ouvrage, qui avait été désigné après appel d'offres, avait présenté début mars les quatre projets d'architecte pour ce nouveau grand stade du Ray de 32.000 places, d'un coût estimé à 98 millions. Le second est un homme d'affaires parisien, "un intermédiaire" déjà connu des services de police, selon une source proche de l'enquête.
Dans un communiqué transmis mardi soir, le maire de Nice Jacques Peyrat a indiqué "prendre acte des investigations" mais s'est dit "très surpris par ces mesures". Selon l'élu, "toutes les procédures légales et réglementaires, notamment en matière de passation de marchés publics, ont toujours été rigoureusement appliquées".
En effet, le parquet de Nice a ouvert le 24 octobre 2002 une information judiciaire pour "trafic d'influence, corruption et favoritisme" confiée au juge Christian Guéry. La justice s'intéresse à différents marchés d'appel d'offres, mais plus particulièrement à l'attribution, en octobre 2002, de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) à une société marseillaise en vue de la réalisation à l'horizon 2006 du Grand stade de football de l'OGC-Nice (32.000 places) d'un coût estimé à 98 millions d'euros.
Selon une source judiciaire, l'entreprise marseillaise, dont l'un des dirigeants est en garde à vue, aurait notamment bénéficié de "renseignements utiles" sur ses concurrents.
Trois policiers de la brigade financière de l'antenne niçoise du SRPJ de Marseille ont donc effectué mardi, pendant toute la matinée.
Cette perquisition porterait sur différents marchés d'appel d'offres, dont le plus important concerne le projet de Grand stade de football de l'OGC-Nice qui devait être livré en 2006.
Deux responsables de société, dont les identités n'ont pas été communiquées, également soupçonnés d'être impliqués dans ces affaires, ont été placés en garde à vue à Marseille et dans l'Essonne, a-t-on indiqué de même source. Ces deux hommes d'affaires devaient être conduits dans les locaux du commissariat de Nice.
Le premier, directeur général d'un cabinet d'assistance en maîtrise d'ouvrage, qui avait été désigné après appel d'offres, avait présenté début mars les quatre projets d'architecte pour ce nouveau grand stade du Ray de 32.000 places, d'un coût estimé à 98 millions. Le second est un homme d'affaires parisien, "un intermédiaire" déjà connu des services de police, selon une source proche de l'enquête.
Dans un communiqué transmis mardi soir, le maire de Nice Jacques Peyrat a indiqué "prendre acte des investigations" mais s'est dit "très surpris par ces mesures". Selon l'élu, "toutes les procédures légales et réglementaires, notamment en matière de passation de marchés publics, ont toujours été rigoureusement appliquées".