Après l'incendie de 1996 qui avait entraîné la mort de 17 personnes et blessé 88 autres, le nouvel aéroport de Düsseldorf est équipé d'un système d'automatisation du bâtiment dont une attention particulière a été portée sur l'installation et la surveillance des détecteurs et clapets incendie.
Ouvert tout récemment, le nouveau terminal B de l'aéroport de Düsseldorf établit un nouveau standard dans le monde de la sécurité. après l'incendie de 1996 qui avait entraîné la mort de 17 personnes et blessé 88 autres. L'intégrateur du système pour ce terminal de 231.000m² est la société Honeywell, qui a fourni un système d'automatisation du bâtiment moderne fonctionnant avec les réseaux Lonworks et faisant appel aux produits certifiés LonMark.
L'incendie de 1996 a montré que les gaz toxiques de dioxyde de carbone se propageant sans contrôle à travers les systèmes de ventilation étaient plus dangereux pour l'homme que les hautes températures. C'est pourquoi, en plus de ses plafonds refroidissants situés dans chacune des pièces, le nouveau terminal B offre 1900 modules de clapets, dont 1000 sont équipés de détecteurs incendie. Ces derniers sont placés dans les conduites d'air et ont été intégrés par Honeywell dans le réseau ouvert LonWorks qui utilise l'architecture de système d'exploitation de réseau LNS d'Echelon. En cas d'incendie, les clapets incendie se ferment automatiquement, afin que les gaz toxiques ne se répandent pas aux alentours. Les détecteurs de fumée et les clapets incendie sont connectés via des modules LonMark au système d'automatisation du bâtiment de Honeywell.
Les fonctions de base du bâtiment comme la climatisation sont contrôlées par le contrôleur de site Excel500 de Honeywell et connectées au réseau LonWorks. Ainsi, lorsqu'un clapet se ferme, un message est envoyé au système d'automatisation du bâtiment qui éteint à son tour les autres fonctions de base du bâtiment. 20% des messages provenant de clapets ont une répercussion sur les fonctions de base du bâtiment.
Les détecteurs de fumée tiennent compte de la pollution de l'air et des capteurs, mais aussi des défauts électroniques. Le seuil de fermeture du clapet est enregistré lorsqu'un incendie est déclaré. Une alarme est déclenchée lorsque le clapet est trop long à se fermer, ou lorsqu'il ne se ferme pas du tout. Les clapets défectueux peuvent ainsi être facilement et rapidement identifiés, tout en réduisant les rapports d'état journaliers. L'activation des détecteurs de fumée et des clapets incendie est rendue possible par l'installation du module universel. Au total, 15 000 (hardware data points) et 1600 noeuds LonMark ont été intégrés au système d'automatisation du bâtiment, comme faisant partie du projet «airport 2000 plus», un projet d'un montant de 339 millions d'euros.
L'incendie de 1996 a montré que les gaz toxiques de dioxyde de carbone se propageant sans contrôle à travers les systèmes de ventilation étaient plus dangereux pour l'homme que les hautes températures. C'est pourquoi, en plus de ses plafonds refroidissants situés dans chacune des pièces, le nouveau terminal B offre 1900 modules de clapets, dont 1000 sont équipés de détecteurs incendie. Ces derniers sont placés dans les conduites d'air et ont été intégrés par Honeywell dans le réseau ouvert LonWorks qui utilise l'architecture de système d'exploitation de réseau LNS d'Echelon. En cas d'incendie, les clapets incendie se ferment automatiquement, afin que les gaz toxiques ne se répandent pas aux alentours. Les détecteurs de fumée et les clapets incendie sont connectés via des modules LonMark au système d'automatisation du bâtiment de Honeywell.
Les fonctions de base du bâtiment comme la climatisation sont contrôlées par le contrôleur de site Excel500 de Honeywell et connectées au réseau LonWorks. Ainsi, lorsqu'un clapet se ferme, un message est envoyé au système d'automatisation du bâtiment qui éteint à son tour les autres fonctions de base du bâtiment. 20% des messages provenant de clapets ont une répercussion sur les fonctions de base du bâtiment.
Les détecteurs de fumée tiennent compte de la pollution de l'air et des capteurs, mais aussi des défauts électroniques. Le seuil de fermeture du clapet est enregistré lorsqu'un incendie est déclaré. Une alarme est déclenchée lorsque le clapet est trop long à se fermer, ou lorsqu'il ne se ferme pas du tout. Les clapets défectueux peuvent ainsi être facilement et rapidement identifiés, tout en réduisant les rapports d'état journaliers. L'activation des détecteurs de fumée et des clapets incendie est rendue possible par l'installation du module universel. Au total, 15 000 (hardware data points) et 1600 noeuds LonMark ont été intégrés au système d'automatisation du bâtiment, comme faisant partie du projet «airport 2000 plus», un projet d'un montant de 339 millions d'euros.