Deux ans après le succès de " Bouygues Confiance ", le groupe Bouygues a de nouveau permis à ses salariés de renforcer leur position d'actionnaire. 30.000 collaborateurs du groupe Bouygues ont décidé d'apporter leur épargne personnelle au Fonds Commun "Bouygues Confiance 2".
Le montant demandé par ces 30.000 salariés représente près du double du maximum fixé à 230 millions d'euros, a indiqué mardi le groupe dans un communiqué qui précise que "les demandes des collaborateurs seront donc réduites de moitié".
Le Conseil d'administration de Bouygues avait décidé le 12 octobre dernier de lever 230 millions d'euros dans le cadre d'une augmentation de capital réservée à 75.000 collaborateurs éligibles. Le prix de souscription avait été fixé à 22,92 euros et la date limite de souscription arrêtée au 7 décembre 2001.
A l'issue de cette opération le capital de Bouygues, détenu par les salariés passera de 6,9% à 9,6% et leur pourcentage de droits de vote de 10,2% à 13,1%, a ajouté le communiqué.
Cette opération d'épargne salariale baptisée Bouygues Confiance 2, s'adresse aux salariés du groupe et de ses six grandes unités (Bouygues Construction, Bouygues Immobilier, Colas, Saur, TF1, Bouygues Telecom), avait expliqué Martin Bouygues, président du groupe, dans une lettre adressée à ses salariés lors du lancement de l'opération.
Le Conseil d'administration de Bouygues avait décidé le 12 octobre dernier de lever 230 millions d'euros dans le cadre d'une augmentation de capital réservée à 75.000 collaborateurs éligibles. Le prix de souscription avait été fixé à 22,92 euros et la date limite de souscription arrêtée au 7 décembre 2001.
A l'issue de cette opération le capital de Bouygues, détenu par les salariés passera de 6,9% à 9,6% et leur pourcentage de droits de vote de 10,2% à 13,1%, a ajouté le communiqué.
Cette opération d'épargne salariale baptisée Bouygues Confiance 2, s'adresse aux salariés du groupe et de ses six grandes unités (Bouygues Construction, Bouygues Immobilier, Colas, Saur, TF1, Bouygues Telecom), avait expliqué Martin Bouygues, président du groupe, dans une lettre adressée à ses salariés lors du lancement de l'opération.