Un nouveau rebondissement au projet d'extension et de modernisation du complexe de tennis Roland-Garros ? Après un premier véto de la justice, la Fédération française de Tennis (FFT) et la Ville de Paris viennent de proposer, affirment Les Echos, une nouvelle mouture de la convention d'occupation du domaine public (CODP). Précisions.
Comme avec la petite balle jaune de tennis, les porteurs du projet d'extension et de modernisation du complexe de tennis Roland-Garros, la FFT et la Ville de Paris n'ont pas tardé à relancer le dossier.
Une nouvelle mouture de la convention d'occupation du domaine public (CODP) liant la ville à la FFT -le concessionnaire -est déjà en cours de validation, affirme, ce mardi 9 avril,le quotidien Les Echos, alors que Paris et la Fédération ont décidé de faire appel de la décision du tribunal administratif, qui avait annulé la délibération initiale, le 1er mars dernier.
Une nouvelle mouture de la convention d'occupation du domaine public (CODP) liant la ville à la FFT -le concessionnaire -est déjà en cours de validation, affirme, ce mardi 9 avril,le quotidien Les Echos, alors que Paris et la Fédération ont décidé de faire appel de la décision du tribunal administratif, qui avait annulé la délibération initiale, le 1er mars dernier.
Le projet serait d'autant plus relancé, confirme le quotidien, que le conseil d'arrondissement du 16ème arrondissement a approuvé, lundi 8 avril au soir, le projet de délibération de la Ville de Paris portant sur la CODP. En effet, d'après la procédure habituelle, le conseil d'arrondissement a été saisi pour délivrer son avis sur l'avenir du site situé dans le 16 ème arrondissement avant le Conseil de Paris, dont la prochaine réunion se tiendra les 22 et 23 avril prochains.
Rénovation du court Philippe-Chatrier et installation d'un toit rétractable
Parmi les aménagements prévus, une rénovation du court Philippe-Chatrier et l'installation d'un toit rétractable, sont prévus en principe pour le tournoi de 2019 et au plus tard en 2020. Pour le reste, le projet est similaire à la version initiale, affirme Les Echos. "En clair, la controverse sur les serres de la porte d'Auteuil risque fort de repartir de plus belle", estime le journal. Ce sujet épineux, pourrait, en effet, prendre une tournure davantage politique à l'approche des élections municipales de 2014.