L’architecte français et l’équipe italienne 5+1 viennent de remporter le concours international organisé par la Biennale de Venise pour la réalisation du nouveau Palazzo del Cinema. Situé sur l’île du Lido, le projet se caractérise par son respect de l’environnement.
Lancé en août 2004, le concours d’architecture s’est terminé jeudi dernier par la victoire de l’équipe formée par 5+1 (Gênes) et Rudy Ricciotti (Bandol), devant neuf autres prétendants parmi lesquels Stefano Boeri, Peter Eisenmann, Massimiliano Fuksas ou encore Rafael Moneo.
Le jury, composé d’architectes, d’ingénieurs et de représentants de la Biennale de Venise, organisatrice de la Mostra de cinéma, a apprécié «l’attention portée par tous les concurrents au contexte monumental et environnemental de la ville».
«Le projet lauréat a été choisi tant pour ses qualités architecturales, que pour sa fonctionnalité», a déclaré le Président de la Biennale, Davide Croff. Il précise que «la solution proposée résout de manière innovante les exigences de la construction d’un nouveau palais du cinéma, et celles du respect de l’environnement naturel de l’île du Lido».
«La salle de 2.400 places n’est pas une architecture symbolique et expressive, mais la réponse précise aux demandes fonctionnelles du programme du concours. Niant l’édifice-objet, elle régénère par son horizontalité le rapport entre le site et la mer», expliquent les architectes.
«Enfouie dans le terrain pour ne pas entrer en conflit avec l’échelle urbaine réduite du Lido, la grande salle est vitrée côté jardin. La structure longitudinale, mesurant presque 90 mètres, est revêtue de composants en résine et de matériaux naturels de couleur terre, rendant ainsi l’architecture énigmatique et sans échelle», concluent-ils.
Le jury, composé d’architectes, d’ingénieurs et de représentants de la Biennale de Venise, organisatrice de la Mostra de cinéma, a apprécié «l’attention portée par tous les concurrents au contexte monumental et environnemental de la ville».
«Le projet lauréat a été choisi tant pour ses qualités architecturales, que pour sa fonctionnalité», a déclaré le Président de la Biennale, Davide Croff. Il précise que «la solution proposée résout de manière innovante les exigences de la construction d’un nouveau palais du cinéma, et celles du respect de l’environnement naturel de l’île du Lido».
«La salle de 2.400 places n’est pas une architecture symbolique et expressive, mais la réponse précise aux demandes fonctionnelles du programme du concours. Niant l’édifice-objet, elle régénère par son horizontalité le rapport entre le site et la mer», expliquent les architectes.
«Enfouie dans le terrain pour ne pas entrer en conflit avec l’échelle urbaine réduite du Lido, la grande salle est vitrée côté jardin. La structure longitudinale, mesurant presque 90 mètres, est revêtue de composants en résine et de matériaux naturels de couleur terre, rendant ainsi l’architecture énigmatique et sans échelle», concluent-ils.
