Accusée de pollution des rivières bretonnes par les nitrates, la France vient d'éviter une lourde amende de la Commission européenne. Pour cela, elle a présenté la semaine dernière un plan pour endiguer la contamination des eaux en Bretagne.
La France vient d'échapper à une amende d'au moins 28 millions d'euros. En effet, Bruxelles lui reproche de polluer les rivières bretonnes par les nitrates notamment à cause de la nature intensive de l'élevage et des cultures dans cette région.
La Commission européenne a donc accordé un sursis à la France car elle a proposé la semaine dernière un plan de réduction des rejets des élevages et mis en avant la décision de fermer temporairement les quatre captages d'eau les plus pollués.
Cela fait une vingtaine d'années que la commission européenne épingle la France à ce sujet. En 2001, la Cour européenne de Justice (CEJ) avait condamné Paris dans cette affaire, estimant que 37 rivières bretonnes étaient concernées par un problème de pollution aux nitrates.
De même en 2004, Paris a déjà été condamnée par la CEJ dans une affaire identique toujours en Bretagne. Bruxelles a clos les poursuites en avril 2006, Paris ayant pris des mesures pour améliorer la qualité de l'eau.
La Commission européenne a donc accordé un sursis à la France car elle a proposé la semaine dernière un plan de réduction des rejets des élevages et mis en avant la décision de fermer temporairement les quatre captages d'eau les plus pollués.
Cela fait une vingtaine d'années que la commission européenne épingle la France à ce sujet. En 2001, la Cour européenne de Justice (CEJ) avait condamné Paris dans cette affaire, estimant que 37 rivières bretonnes étaient concernées par un problème de pollution aux nitrates.
De même en 2004, Paris a déjà été condamnée par la CEJ dans une affaire identique toujours en Bretagne. Bruxelles a clos les poursuites en avril 2006, Paris ayant pris des mesures pour améliorer la qualité de l'eau.