La banque d'affaires américaine a pris 20% du capital du promoteur immobilier français gestionnaire de centres commerciaux via un fond d'investissement pour 41 millions d'euros.
Au cours d'une conférence de presse commune, le directeur du fond, Eric Adler, et le président d'Altarea, Bernard Taravella, ont souligné que ce partenariat permettra à la société foncière d'accélérer son développement en France et à l'étranger, en Italie notamment.
Selon Eric Adler, il s'agit de la première prise de participation de la banque dans l'immobilier commercial. Cette opération doit lui permettre d'accompagner la croissance d'un groupe qui a actuellement le vent en poupe dans un secteur à fort potentiel de développement : le commerce de centre ville.
Ce secteur représente le point fort de la foncière, créée en 1994, et qui a parié dès le départ sur le retour des magasins dans les centres des villes. Depuis quelques années, cette notion a fait son chemin et de nombreuses foncières ont fait la même démarche, d'autant que les expansions en périphérie sont strictement limitées.
Altarea, valorisée à 200 millions d'euros, a plusieurs projets dans ses cartons qui vont nécessiter un investissement global de 700 millions d'euros sur les cinq prochaines années, a indiqué son président. " 85% de cette somme doit être investie en France dans de nouveaux centres et les 15% restant devraient être consacrés à l'Italie, en retard dans le domaine des centres commerciaux et qui offre pourtant un potentiel important ", a ajouté Bernard Taravella.
Le fonds baptisé " Morgan Stanley Real Estate situation fund " et Altarea n'ont signé aucun engagement sur l'évolution capitalistique, mais les deux groupes ne s'interdisent pas une montée en puissance de la banque dans la foncière. Pour le président de cette dernière, l'objectif à terme est de rester majoritaire. Il détient avec Jacques Nicolet 80% de la société, et envisage une éventuelle introduction en Bourse d'ici au moins quatre ans, quand il aura une taille critique évaluée entre 1,2 et 1,5 milliards d'euros.
Pour l'instant Altarea détient directement et indirectement 15 centres commerciaux d'une valeur de 400 millions d'euros et assure l'exploitation et la gestion de 18 centres ou galeries.
Selon Eric Adler, il s'agit de la première prise de participation de la banque dans l'immobilier commercial. Cette opération doit lui permettre d'accompagner la croissance d'un groupe qui a actuellement le vent en poupe dans un secteur à fort potentiel de développement : le commerce de centre ville.
Ce secteur représente le point fort de la foncière, créée en 1994, et qui a parié dès le départ sur le retour des magasins dans les centres des villes. Depuis quelques années, cette notion a fait son chemin et de nombreuses foncières ont fait la même démarche, d'autant que les expansions en périphérie sont strictement limitées.
Altarea, valorisée à 200 millions d'euros, a plusieurs projets dans ses cartons qui vont nécessiter un investissement global de 700 millions d'euros sur les cinq prochaines années, a indiqué son président. " 85% de cette somme doit être investie en France dans de nouveaux centres et les 15% restant devraient être consacrés à l'Italie, en retard dans le domaine des centres commerciaux et qui offre pourtant un potentiel important ", a ajouté Bernard Taravella.
Le fonds baptisé " Morgan Stanley Real Estate situation fund " et Altarea n'ont signé aucun engagement sur l'évolution capitalistique, mais les deux groupes ne s'interdisent pas une montée en puissance de la banque dans la foncière. Pour le président de cette dernière, l'objectif à terme est de rester majoritaire. Il détient avec Jacques Nicolet 80% de la société, et envisage une éventuelle introduction en Bourse d'ici au moins quatre ans, quand il aura une taille critique évaluée entre 1,2 et 1,5 milliards d'euros.
Pour l'instant Altarea détient directement et indirectement 15 centres commerciaux d'une valeur de 400 millions d'euros et assure l'exploitation et la gestion de 18 centres ou galeries.
