Plusieurs associations opposées à la construction d'un nouveau tunnel ferroviaire transpyrénéen destiné au fret ferroviaire ont dénoncé samedi des «chiffres aberrants» de trafic avancés par les promoteurs de ce tunnel qu'elles jugent «inutiles».
Depuis des années, les régions Midi-Pyrénées et Aragon militent en faveur de ce tunnel destiné à détourner vers le rail une partie du trafic routier de marchandises qui encombre les axes entre la France et l'Espagne. Une opération dont l'investissement s'élève entre 5 et 10 milliards d'euros.
Mais ce projet suscitent des mécontentements ! En effet, selon ACTIVAL (Association contre le tunnel inutile dans les vallées d'Ailleurs et du Lavedan) dans un communiqué, les associations locales réunies à Toulouse samedi avec le président de l'amicale des maires du canton d'Argelès (Hautes-Pyrénées), et des écologistes dont Cap 21 (le parti de l'ancien ministre Corinne Lepage) «ont déploré l'ambition déraisonnable des promoteurs qui réclament un tunnel dont l'utilité reste à prouver, en s'appuyant sur des chiffres aberrants concernant les trafics à venir».
Selon les participants, ces promoteurs «négligent les lignes ferroviaires existantes et ignorent le désastre que le percement d'un nouveau tunnel infligerait aux vallées pyrénéennes concernées».
Basée dans les Hautes-Pyrénées, ACTIVAL a souligné l'importance d'une prise de position à quelques jours du sommet franco-espagnol du 10 novembre qui doit évoquer ce dossier de traversée centrale des Pyrénées (TCP).
Mais ce projet suscitent des mécontentements ! En effet, selon ACTIVAL (Association contre le tunnel inutile dans les vallées d'Ailleurs et du Lavedan) dans un communiqué, les associations locales réunies à Toulouse samedi avec le président de l'amicale des maires du canton d'Argelès (Hautes-Pyrénées), et des écologistes dont Cap 21 (le parti de l'ancien ministre Corinne Lepage) «ont déploré l'ambition déraisonnable des promoteurs qui réclament un tunnel dont l'utilité reste à prouver, en s'appuyant sur des chiffres aberrants concernant les trafics à venir».
Selon les participants, ces promoteurs «négligent les lignes ferroviaires existantes et ignorent le désastre que le percement d'un nouveau tunnel infligerait aux vallées pyrénéennes concernées».
Basée dans les Hautes-Pyrénées, ACTIVAL a souligné l'importance d'une prise de position à quelques jours du sommet franco-espagnol du 10 novembre qui doit évoquer ce dossier de traversée centrale des Pyrénées (TCP).