Photographies, cartes, maquettes et matériaux sont mis en avant dans cette exposition qui propose "une traversée de la ville à chez soi". Sous le prisme des habitants qui occupent les trois bâtiments parisiens et lyonnais, trois ouvrages accompagnent l'exposition.

 

 

Une première partie s'attache à décrypter la ville et le quartier, et leurs rapports entre les sphères publique et privée. "On parle aussi de mixité, qu'elle soit programmatique, morphologique ou typologique", explique Ingrid Taillandier. L'architecte considère que la "création de vide" dans un immeuble permet de mieux gérer les usages, de donner "les bonnes distances entre les habitants" pour garantir une intimité. Le public et le privé s'entremêlent au rez-de-chaussée des édifices. Des espaces qui autorisent l'"invention de pièces partagées, telles qu'un bureau, une chapelle ou bien un espace de coworking", continue-t-elle.

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