Quatre associations pour le logement regroupées sous le «ministère de la crise du logement» se sont installées à Lyon, en marge de la tenue des «réunions de chantier» de Christine Boutin.
Le «ministère de la crise du logement» sest installé lundi place Bellecourt à Lyon, face aux locaux abritant pour quelques jours encore le ministère du logement décentralisé de Christine Boutin. Derrière la banderole demandant «100.000 logements tout de suite, un million très vite» pour les précaires du logement, sont rassemblés une quarantaine de membres dassociations telles que Droit au logement (DAL, le Comité des sans logis, Macaq et Jeudi noir.
Une délégation de six personnes doit être reçue mardi par la ministre. Les représentants du «ministère de la crise du logement» exigent trois mesures immédiates. «Nous demandons tout de suite à la ministre de lancer un programme de 100.000 logements et de mettre un peu dordre dans lattribution des logements sociaux», en privilégiant «des critères objectifs et non plus clientélistes», expliquait lundi Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de DAL. Lassociation demande en outre que soient loués des logements dans le parc privé «au lieu de loger les gens dans des chambres dhôtel miteuses qui coutent 3.000 euros par mois».
Le «ministère de la crise du logement» a décidé de camper symboliquement sur la place Bellecourt dans la nuit à mardi.
Une délégation de six personnes doit être reçue mardi par la ministre. Les représentants du «ministère de la crise du logement» exigent trois mesures immédiates. «Nous demandons tout de suite à la ministre de lancer un programme de 100.000 logements et de mettre un peu dordre dans lattribution des logements sociaux», en privilégiant «des critères objectifs et non plus clientélistes», expliquait lundi Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de DAL. Lassociation demande en outre que soient loués des logements dans le parc privé «au lieu de loger les gens dans des chambres dhôtel miteuses qui coutent 3.000 euros par mois».
Le «ministère de la crise du logement» a décidé de camper symboliquement sur la place Bellecourt dans la nuit à mardi.