Le brillant ouvrage du Viaduc de Millau risque de pâtir du manque de courant entre la Communauté d'Agglomération millavoise et la société Eiffage, en passant de la lumière à l'ombre.
Inauguré le mois dernier, le Viaduc de Millau fait l'objet d'un désaccord autour son éclairage. La Communauté d'Agglomération souhaiterait que l'ouvrage soit allumé tous les soirs de l'année, mais son concessionnaire, Eiffage, rappelle que son contrat stipule un éclairage nocturne «lors de grandes occasions».
Eiffage, qui a dépensé 320 millions d'euros pour la construction du viaduc, estime que le coût d'un éclairage nocturne, toute l'année, serait trop cher : environ 91.000 euros (250 euros / nuit). Un changement d'avis raviraient les collectivités locales, qui payent déjà l'éclairage des falaises alentours, et les touristes.
En attendant que ce «malentendu budgétaire» soit éventuellement réglé, le viaduc restera éclairé toutes les nuits jusqu'à la fin janvier.
Eiffage, qui a dépensé 320 millions d'euros pour la construction du viaduc, estime que le coût d'un éclairage nocturne, toute l'année, serait trop cher : environ 91.000 euros (250 euros / nuit). Un changement d'avis raviraient les collectivités locales, qui payent déjà l'éclairage des falaises alentours, et les touristes.
En attendant que ce «malentendu budgétaire» soit éventuellement réglé, le viaduc restera éclairé toutes les nuits jusqu'à la fin janvier.