Le tribunal de commerce de Toulouse a récemment autorisé la reprise par le constructeur français de pavillons Misa, de trois sociétés qui appartenaient au groupe alsacien Cocoon, dont les filiales maisons individuelles avaient été placées en décembre en redressement judiciaire.
Le jugement du tribunal, rendu le 15 mars dernier, a officialisé l'entrée des sociétés Pavillons modernes (région Centre), Demeures océanes, installée à La Rochelle et à Royan (Charentes-Maritime), et la société Stylgit (Alsace), qui emploient un total de 189 salariés, dans le giron de Misa (Maisons Phénix ou Catherine Mamet).
Cette nouvelle vague d'acquisition fait suite à celle avalisée le mois dernier par le tribunal de commerce de Bordeaux, qui avait permis à Mi SA d'acquérir les marques Demeures de la Côte d'argent et Clairlande.
Numéro un français de la construction de maisons individuelles, le groupe Mi SA a enregistré au cours de son exercice 2001 un chiffre d'affaires de 385 millions d'euros hors-taxe, en progression de 8,7% par rapport à l'exercice précédent. Le président du groupe, Roland Germain, table sur une croissance de 20% pour l'année 2002.
Cette nouvelle vague d'acquisition fait suite à celle avalisée le mois dernier par le tribunal de commerce de Bordeaux, qui avait permis à Mi SA d'acquérir les marques Demeures de la Côte d'argent et Clairlande.
Numéro un français de la construction de maisons individuelles, le groupe Mi SA a enregistré au cours de son exercice 2001 un chiffre d'affaires de 385 millions d'euros hors-taxe, en progression de 8,7% par rapport à l'exercice précédent. Le président du groupe, Roland Germain, table sur une croissance de 20% pour l'année 2002.
