Pour échapper à une forte imposition sur cette vente, le numéro un allemand de la distribution renonce dans l'immédiat à céder son parc immobilier, dont la valeur est évaluée à 3 milliards.
"Nous pouvons confirmer que les négociations sont gelées jusqu'à ce que les incertitudes fiscales" pesant actuellement en Allemagne "aient été levées", a expliqué un porte-parole cité par l'AFP.
Metro semble notamment s'inquiéter d'un projet à l'étude de hausse de l'imposition sur les gains tirés de la vente de biens immobiliers non occupés par leurs propriétaires.
Plus globalement, le gouvernement envisage diverses hausses de taxes et suppressions de privilèges fiscaux afin de faire face au creusement des déficits publics. Ce programme n'est pas encore finalisé.
Le portefeuille immobilier du groupe est composé de 357 immeubles et terrains abritant ses enseignes de vente au détail. Il intéressait, selon la presse allemande, la société américaine d'investissement Blackstone, le groupe de services financiers General Electric Capital, ainsi que les banques d'investissement Merrill Lynch et Morgan Stanley.
Metro entendait à l'origine signer le contrat de vente courant novembre, avant de louer les biens cédés à leur nouveau propriétaire.
Selon la presse, Metro aurait pu tirer 500 à 700 millions d'euros de gain net de cette cession, des fonds qui devaient être utilisés pour rééquilibrer les comptes de sa filiale en difficultés Divaco.
Metro semble notamment s'inquiéter d'un projet à l'étude de hausse de l'imposition sur les gains tirés de la vente de biens immobiliers non occupés par leurs propriétaires.
Plus globalement, le gouvernement envisage diverses hausses de taxes et suppressions de privilèges fiscaux afin de faire face au creusement des déficits publics. Ce programme n'est pas encore finalisé.
Le portefeuille immobilier du groupe est composé de 357 immeubles et terrains abritant ses enseignes de vente au détail. Il intéressait, selon la presse allemande, la société américaine d'investissement Blackstone, le groupe de services financiers General Electric Capital, ainsi que les banques d'investissement Merrill Lynch et Morgan Stanley.
Metro entendait à l'origine signer le contrat de vente courant novembre, avant de louer les biens cédés à leur nouveau propriétaire.
Selon la presse, Metro aurait pu tirer 500 à 700 millions d'euros de gain net de cette cession, des fonds qui devaient être utilisés pour rééquilibrer les comptes de sa filiale en difficultés Divaco.