La Chine vient d'adopter une nouvelle série de mesures destinées à décourager la spéculation immobilière.
Inquiète de la formation d'une bulle immobilière, la Chine a pris depuis trois ans de nombreuses mesures pour restreindre le crédit et la spéculation, dont plusieurs hausses des taux d'intérêt.
Vendredi, les autorités chinoises ont confirmé l'adoption d'une série de mesures comme un apport financier initial plus élevé pour l'achat d'un deuxième bien immobilier.
Selon un communiqué conjoint de la Banque centrale et de la Commission de régulation bancaire publié jeudi soir, les taux d'intérêts et les apports exigés pour certains crédits seront plus élevés, pour un deuxième achat (40% au lieu de 30%) ainsi que pour de l'immobilier commercial (50%, au lieu de 40%).
En revanche, les deux institutions expliquent qu'en dépit des «mesures prises depuis 2005 pour empêcher la hausse rapide des prix de l'immobilier, il reste des problèmes demandant une solution urgente» liés notamment à la spéculation.
Vendredi, les autorités chinoises ont confirmé l'adoption d'une série de mesures comme un apport financier initial plus élevé pour l'achat d'un deuxième bien immobilier.
Selon un communiqué conjoint de la Banque centrale et de la Commission de régulation bancaire publié jeudi soir, les taux d'intérêts et les apports exigés pour certains crédits seront plus élevés, pour un deuxième achat (40% au lieu de 30%) ainsi que pour de l'immobilier commercial (50%, au lieu de 40%).
En revanche, les deux institutions expliquent qu'en dépit des «mesures prises depuis 2005 pour empêcher la hausse rapide des prix de l'immobilier, il reste des problèmes demandant une solution urgente» liés notamment à la spéculation.