Après le blocage mardi de négociations sur des accords d'entreprise et sur les salaires, les syndicats de la société Forclum, filiale du groupe Eiffage spécialisée dans l'installation électrique, ont menacé mardi d'une journée d'action le 25 mars prochain.
Selon un communiqué intersyndical (CGT-CFDT-FO-CFTC-CFE-CGC) publié mardi, «le courant ne passe plus chez Forclum entre les élus et la direction», après le blocage de négociations sur des accords d'entreprise et sur les salaires.
CGT, CFDT, FO et CFTC ont établi pour les négociations salariales une plate-forme revendicative en 33 points, qui incluent la retraite à 55 ans et la reconnaissance de la pénibilité dans les métiers du BTP, des salaires qui ne soient pas inférieurs à 1.500 euros net et une augmentation générale de 7% avec un minimum de 120 euros.
Mardi, une centaine de délégués syndicaux venus de toute la France se sont rassemblés dans la matinée devant le siège de la société, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), où devait se tenir une séance de négociations salariales, selon la CGT. La direction n'a pas accepté de négocier «avec ce qu'elle appelle une pression» et une nouvelle réunion est prévue vendredi.
CGT, CFDT, FO et CFTC ont établi pour les négociations salariales une plate-forme revendicative en 33 points, qui incluent la retraite à 55 ans et la reconnaissance de la pénibilité dans les métiers du BTP, des salaires qui ne soient pas inférieurs à 1.500 euros net et une augmentation générale de 7% avec un minimum de 120 euros.
Mardi, une centaine de délégués syndicaux venus de toute la France se sont rassemblés dans la matinée devant le siège de la société, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), où devait se tenir une séance de négociations salariales, selon la CGT. La direction n'a pas accepté de négocier «avec ce qu'elle appelle une pression» et une nouvelle réunion est prévue vendredi.
