José Bové n'aura plus besoin de s'en prendre à nouveau au McDonald's de Millau. Le fast-food est écarté de la route des vacances par le viaduc de Millau et une baisse d'activité est attendue.
Victime d'un démontage musclé à la veille de son ouverture en 1999, le McDonald's de Millau, idéalement situé sur la route nationale 9 par laquelle transitaient les files de touristes avant l'ouverture du viaduc, ne va pas tirer le rideau même si une baisse de l'activité est attendue.
Car la part de son activité liée aux grands flux de vacanciers, surtout l'été mais aussi lors des autres périodes de vacances scolaires, va forcément être touchée par le contournement de la ville par l'A75 à compter du 17 décembre.
"Je ne vais certainement pas fermer. Quand on a ouvert en 99, on savait que le viaduc allait se faire et on a donc choisi cet emplacement en toute connaissance de cause", relativise Marc Dehani, patron des quatre McDonald's de l'Aveyron (deux à Rodez et un à Villefranche-de-Rouergue). "Je prévois une baisse globale de 20 à 25%, mais ça ne remet pas en cause l'implantation du restaurant".
"Ce viaduc est une bonne chose", confie même le chef d'entreprise "car les problèmes de circulation étaient catastrophiques. A Millau et Aguessac, c'était l'enfer".
Quant à l'épisode l'ayant opposé à José Bové et ses acolytes, qui dénonçaient alors les sanctions américaines frappant le roquefort, produit phare de l'Aveyron, Marc Dehani ne souhaite pas revenir dessus.
"J'ai monté mon business, je me suis bien développé, j'ai pas mal de partenariats dans la ville. Maintenant, c'est du passé" a-t-il déclaré à l'AFP.
Car la part de son activité liée aux grands flux de vacanciers, surtout l'été mais aussi lors des autres périodes de vacances scolaires, va forcément être touchée par le contournement de la ville par l'A75 à compter du 17 décembre.
"Je ne vais certainement pas fermer. Quand on a ouvert en 99, on savait que le viaduc allait se faire et on a donc choisi cet emplacement en toute connaissance de cause", relativise Marc Dehani, patron des quatre McDonald's de l'Aveyron (deux à Rodez et un à Villefranche-de-Rouergue). "Je prévois une baisse globale de 20 à 25%, mais ça ne remet pas en cause l'implantation du restaurant".
"Ce viaduc est une bonne chose", confie même le chef d'entreprise "car les problèmes de circulation étaient catastrophiques. A Millau et Aguessac, c'était l'enfer".
Quant à l'épisode l'ayant opposé à José Bové et ses acolytes, qui dénonçaient alors les sanctions américaines frappant le roquefort, produit phare de l'Aveyron, Marc Dehani ne souhaite pas revenir dessus.
"J'ai monté mon business, je me suis bien développé, j'ai pas mal de partenariats dans la ville. Maintenant, c'est du passé" a-t-il déclaré à l'AFP.
