ALERTE. Les pénuries de certaines matières, la flambée des prix et les problèmes de livraisons maritimes impactent lourdement les entreprises spécialisées dans les équipements de la route, qui peinent à sortir la tête de l'eau. Le président du syndicat qui les représente, Aly Adham, espère que les pouvoirs publics entendent leurs inquiétudes et que les pénalités de retard soient temporairement suspendues.
La crise qui secoue depuis plusieurs mois les matières premières n'a pas fini de faire des ravages. Après les professionnels de la plasturgie et de la filière du bois, voilà que ce sont les experts en fabrication d'équipements routiers et urbains et les entreprises de travaux qui tirent la sonnette d'alarme. La filière qui les représente est affectée depuis l'automne 2020 par l'inflation des prix de matières premières, et particulièrement par celui de l'acier noir. Cela est notamment dû à la fermeture de six aciéries en Chine et au plan de relance américain, qui a poussé des entreprises chinoises et américaines à se fournir en Europe de l'Est, là où achètent également les Français.
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