En visite à Toulouse, la secrétaire d'Etat au logement s'est félicitée de l'avancée des travaux de réparation dans le parc public, même si elle reconnu qu'il existait des blocages au niveau des assurances dans l'habitat privé.
"J'adresse mes félicitations au secteur HLM dans lequel 70% des travaux définitifs de réparation de toits et de fenêtres ont été réalisés", a indiqué Marie-Noëlle Lienemann qui assistait à un colloque sur l'étalement urbain et qui a profité de cette occasion pour rencontrer les représentants de l'OPAH, de la Communauté d'Agglomération du Grand Toulouse, des syndics de copropriété, ainsi que l'entreprise de menuiserie Technal (notre photo).
"100% le seront d'ici la fin mars et tous les travaux (gros oeuvre, peinture, etc.) seront terminés fin juin", a affirmé la secrétaire d'Etat.
Dans le parc privé, la situation est beaucoup plus "hétérogène" a reconnu Mme Lienemann, avec "des blocages au niveau des expertises" des assurances. Certains sinistrés n'ont pas encore reçu la visite d'un expert par exemple, la loi n'imposant pas de délai pour réaliser l'expertise.
Mme Lienemann a également fait état de difficultés pour faire établir les contre-expertises et pour obtenir un niveau de remboursement satisfaisant.
"Les assureurs se sont engagés à ne pas faire jouer la clause de vétusté, et ils doivent respecter cet engagement et sont également tenus de faire des réparations aux normes actuelles", a-t-elle déclaré.
En cas de difficulté, Mme Lienemann a encouragé les sinistrés à se tourner vers la cellule assurances mise en place à la préfecture, qui peut jouer le rôle de médiateur, et à chercher un conseil juridique auprès des associations de consommateurs par exemple.
Selon Sylvain Mathieu, sous-préfet à la ville, "environ 80.000 dossiers d'assurances ont été ouverts et 4 à 5% d'entre eux posent problème".
"100% le seront d'ici la fin mars et tous les travaux (gros oeuvre, peinture, etc.) seront terminés fin juin", a affirmé la secrétaire d'Etat.
Dans le parc privé, la situation est beaucoup plus "hétérogène" a reconnu Mme Lienemann, avec "des blocages au niveau des expertises" des assurances. Certains sinistrés n'ont pas encore reçu la visite d'un expert par exemple, la loi n'imposant pas de délai pour réaliser l'expertise.
Mme Lienemann a également fait état de difficultés pour faire établir les contre-expertises et pour obtenir un niveau de remboursement satisfaisant.
"Les assureurs se sont engagés à ne pas faire jouer la clause de vétusté, et ils doivent respecter cet engagement et sont également tenus de faire des réparations aux normes actuelles", a-t-elle déclaré.
En cas de difficulté, Mme Lienemann a encouragé les sinistrés à se tourner vers la cellule assurances mise en place à la préfecture, qui peut jouer le rôle de médiateur, et à chercher un conseil juridique auprès des associations de consommateurs par exemple.
Selon Sylvain Mathieu, sous-préfet à la ville, "environ 80.000 dossiers d'assurances ont été ouverts et 4 à 5% d'entre eux posent problème".