Selon le CSTB, on recense aujourd'hui une vingtaine de fournisseurs de chauffe-eau solaires individuels (CESI) sous avis technique et éligibles aux primes distribuées par l'ADEME. Tour d'horizon des différentes techniques.
Production d'eau chaude sanitaire, chauffage des locaux, chauffage des piscines ou encore climatisation... sont les principales utilisations des capteurs solaires à circulation liquide.
Le système le plus répandu est celui des capteurs vitrés. Son principe est de capter l'énergie solaire sur un absorbeur plan au travers d'un vitrage. Ce procédé a fait ses preuves mais il est difficile d'atteindre des températures élevées avec un bon rendement.
Cet inconvénient a été supprimé avec la technique des capteurs sous vide. S'ils sont chers, ces capteurs obtiennent de bons rendements grâce à une isolation assurée par la mise sous vide de l'absorbeur.
La technique capteur «CPC» a également fait ses preuves en matière de rendement. Dans ce cas, le capteur vitré est équipé d'un concentrateur parabolique dont le but est d'améliorer le coefficient d'absorption du capteur.
Enfin, signalons également l'existence de capteurs sans vitrage. L'énergie solaire est captée par un absorbeur en matériaux de synthèse. S'il génère des pertes élevées, ce système est intéressant au niveau coût. Il est d'ailleurs souvent utilisé en préchauffage des piscines.
Pour la production d'eau chaude solaire individuelle, plusieurs systèmes cohabitent également.
Le système le plus simple - et le plus économique - est celui de l'autostockeur (capteur). Il consiste à chauffer directement le stock d'eau sanitaire car le stock et le capteur sont confondus. Ce système est surtout utilisé dans les DOM-TOM car il génère des pertes noctures.
Autre procédé simple et bien adapté aux pays chauds, le Thermosiphon. Ce système consiste à transférer l'énergie du capteur vers le stock par différence de densité mais il implique que le stock soit proche des capteurs.
Pour remédier à ce problème, il existe des systèmes dits «à circulation forcée» où l'énergie du capteur est transférée vers le stock à l'aide d'une pompe. Une régulation et des sondes de mesures son toutefois nécessaires.
Enfin, le système le plus aboutit est certainement celui à faible débit. C'est un système complexe à circulation forcée pour lequel on limite le débit dans les capteurs afin d'optimiser la boucle solaire et le stock. Son principal avantage est que la consommation d'appoint peut être réduite particulièrement en zone climatique froide.
Le système le plus répandu est celui des capteurs vitrés. Son principe est de capter l'énergie solaire sur un absorbeur plan au travers d'un vitrage. Ce procédé a fait ses preuves mais il est difficile d'atteindre des températures élevées avec un bon rendement.
Cet inconvénient a été supprimé avec la technique des capteurs sous vide. S'ils sont chers, ces capteurs obtiennent de bons rendements grâce à une isolation assurée par la mise sous vide de l'absorbeur.
La technique capteur «CPC» a également fait ses preuves en matière de rendement. Dans ce cas, le capteur vitré est équipé d'un concentrateur parabolique dont le but est d'améliorer le coefficient d'absorption du capteur.
Enfin, signalons également l'existence de capteurs sans vitrage. L'énergie solaire est captée par un absorbeur en matériaux de synthèse. S'il génère des pertes élevées, ce système est intéressant au niveau coût. Il est d'ailleurs souvent utilisé en préchauffage des piscines.
Pour la production d'eau chaude solaire individuelle, plusieurs systèmes cohabitent également.
Le système le plus simple - et le plus économique - est celui de l'autostockeur (capteur). Il consiste à chauffer directement le stock d'eau sanitaire car le stock et le capteur sont confondus. Ce système est surtout utilisé dans les DOM-TOM car il génère des pertes noctures.
Autre procédé simple et bien adapté aux pays chauds, le Thermosiphon. Ce système consiste à transférer l'énergie du capteur vers le stock par différence de densité mais il implique que le stock soit proche des capteurs.
Pour remédier à ce problème, il existe des systèmes dits «à circulation forcée» où l'énergie du capteur est transférée vers le stock à l'aide d'une pompe. Une régulation et des sondes de mesures son toutefois nécessaires.
Enfin, le système le plus aboutit est certainement celui à faible débit. C'est un système complexe à circulation forcée pour lequel on limite le débit dans les capteurs afin d'optimiser la boucle solaire et le stock. Son principal avantage est que la consommation d'appoint peut être réduite particulièrement en zone climatique froide.