Les loueurs de matériel de BTP, qui viennent de publier leurs derniers chiffres, affichent un repli de leur activité de 0,5 % par rapport au troisième trimestre 2007. Parmi les raisons évoquées pour expliquer cette chute : la très forte hausse des prix de l'énergie et la crise des subprimes.
Selon le dernier baromètre conjoncturel DLR (Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs), les loueurs de matériel de BTP enregistrent une baisse de leur activité de 0,5 % par rapport au troisième trimestre 2007. Sur l'ensemble des douze derniers mois, la tendance annuelle reste orientée à la hausse avec + 3,5 %.
La distribution de matériel de BTP freine également avec une activité en recul de - 5 % sur un an. Cependant, sur les quatre derniers trimestres, la croissance reste soutenue (+ 4 %). Quant à l'activité de la distribution-location de chariots de manutention, elle augmente de 2,5 % au troisième trimestre 2008 par rapport au même trimestre en 2007. Sur les douze derniers mois, la tendance annuelle avoisine des niveaux encore élevés (+ 4 %). Pour expliquer les difficultés du secteur, le DLR cite entre autres «la correction de la bulle immobilière», la «très forte hausse des prix énergétiques» et la crise des subprimes.
Enfin, le DLR souligne que «les perspectives d'avenir se dégradent encore, dues notamment à l'effet néfaste engendré par la déstabilisation des banques et du système financier».
La distribution de matériel de BTP freine également avec une activité en recul de - 5 % sur un an. Cependant, sur les quatre derniers trimestres, la croissance reste soutenue (+ 4 %). Quant à l'activité de la distribution-location de chariots de manutention, elle augmente de 2,5 % au troisième trimestre 2008 par rapport au même trimestre en 2007. Sur les douze derniers mois, la tendance annuelle avoisine des niveaux encore élevés (+ 4 %). Pour expliquer les difficultés du secteur, le DLR cite entre autres «la correction de la bulle immobilière», la «très forte hausse des prix énergétiques» et la crise des subprimes.
Enfin, le DLR souligne que «les perspectives d'avenir se dégradent encore, dues notamment à l'effet néfaste engendré par la déstabilisation des banques et du système financier».
